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Forums par disciplines => Karaté => Discussion démarrée par: Kenshin le février 19, 2011, 17:43:34 pm

Titre: Les styles shotokan
Posté par: Kenshin le février 19, 2011, 17:43:34 pm
Bonjour,
j'aimerais savoir ce qui d'après-vous différencie le karaté Shotokan tel qu'enseigné par les Kase, Kanazawa, Nishiama, Oshima, JKA, etc. Plusieurs personnes parlent comme s'il y avait différents styles Shotokan; un style Ohshima, un style JKA, un style Kase, etc. Quelles seraient donc ces différences d'après-vous ? Simple curiosité.
Titre: Re : Les styles shotokan
Posté par: shoto le février 27, 2011, 17:18:17 pm
il ya trois ligné de shotokan Jka,nishiama,okazaki.on voie leur différence avec les katas.
JKA= position plus longue et plus large
nishiyama=kata avec bio mécanique + énergie interne et Histoire (itkf et iska)
okazaki= je ne le conais pas beaucoup mais je sais que les katas on une différeence  (iskf)
Titre: Re : Les styles shotokan
Posté par: maxenseo le février 27, 2011, 19:53:30 pm
malheureusement je pense  que c est juste une histoire  d ego si les katas sont les memes les bunkai et la facond enseigner je ne vois pas l interet de diviser une ecole et par le meme cas l affaiblir
Titre: Re : Les styles shotokan
Posté par: shoto le février 27, 2011, 20:06:09 pm
non les bunkais sont loin d'etre pareille et la façon d'esnseigner la jka enseigne un karate de compétition
je ne crois pas nonplus que cela a affaiblie le shotokan car il sont tous des bon coté avec des façon de voir le shotokan différente . faite des recherche sur le shotokan et sur les principale branche du shotokan et vous allé découvrir un merveilleuse histoire.

pour la question d'égo s'incèrement tu est dans le champ c'est maitre la on tous apris avec funakoshi et certain d'entre eu on même eu sont accor pour modifier le shotokan (shotokai) le shotokan est a mon avi le seul karaté qui a évoluer avec sont temp.

phylosophie shotokan : un coup = un coup mortelle
Titre: Re : Les styles shotokan
Posté par: shototaï le février 27, 2011, 20:49:07 pm
Citer
la jka enseigne un karate de compétition

C'est nouveau ça  :S
Titre: Re : Les styles shotokan
Posté par: Karuna le février 27, 2011, 20:54:45 pm
Mon dieu pardonnes leurs ... ils sont jeunes  :o
Titre: Re : Re : Les styles shotokan
Posté par: psyco_mantis le février 27, 2011, 22:49:04 pm
non les bunkais sont loin d'etre pareille et la façon d'esnseigner la jka enseigne un karate de compétition
je ne crois pas nonplus que cela a affaiblie le shotokan car il sont tous des bon coté avec des façon de voir le shotokan différente . faite des recherche sur le shotokan et sur les principale branche du shotokan et vous allé découvrir un merveilleuse histoire.

pour la question d'égo s'incèrement tu est dans le champ c'est maitre la on tous apris avec funakoshi et certain d'entre eu on même eu sont accor pour modifier le shotokan (shotokai) le shotokan est a mon avi le seul karaté qui a évoluer avec sont temp.

phylosophie shotokan : un coup = un coup mortelle
a cette bétise je répondrai par une citation du maitre:
Citation de: wikipédia
Les 20 préceptes du Karaté Dô
Sensei Funakoshi, afin de laisser une trace écrite et de guider les pratiquants dans leur quête d'une compréhension plus approfondie des aspects spirituels de la voie du karaté-dô, rédigea au soir de sa vie ce traité[1]. Ces maximes succinctes qui s'inscrivent dans le cadre d'une tradition orale étaient originellement destinées à être complétées par des explications du Maître, dans son dôjô ou au hasard de cours particuliers que celui-ci dispensait à ses disciples.
Les principes sont compacts, concis et tendent vers une nature profondément philosophique. Cette même concision fait qu'ils sont sujets à des multiples interprétations et ce même dans leur langue d'origine : le japonais. Certains exégèses peuvent très bien altérer la signification originelle souhaitée par le Maître. Les commentaires et interprétations sont de Genwa Nakasone, contemporain et allié de poids de maître Funakoshi. C'est cette position privilégiée aux côtés du Maître qui fit de lui l'une des personnes les plus à même d'illustrer de commentaires les vingt préceptes.
   1. N'oubliez pas que le karaté commence et s'achève par le rei. Rei = « respect, courtoisie: le salut », mais ne pas le limiter à ces simples définitions. Il signifie le respect que l'on éprouve à l'endroit des autres, le rei est également la marque de l'estime que l'on a pour soi. Lorsqu'on transfère cette estime que l'on a pour soi sur les autres - respect - on agit conformément aux principes du rei. Les disciplines de combat qui font fi des principes du rei ne sont que pure violence, la force physique dénuée de rei n'est rien d'autre que brutalité, sans valeur pour l'être humain. Le rei est la manifestation physique d'un cœur sincère, révérencieux et empli de respect.
   2. Il n'y a pas d'attaque dans le karaté. Dans le karaté les mains et pieds sont potentiellement aussi mortels que la lame d'un sabre : c'est pourquoi dans la mesure du possible vous devez éviter de décocher un coup mortel. « Jamais il ne faut tirer son sabre sur un coup de tête », cet enseignement fondamental était au cœur du bushido japonais. Ainsi « il n'y a pas d'attaque dans le karaté » est une extension de ce principe de base selon lequel il ne faut pas sortir son arme au moindre prétexte. Elle souligne la nécessité absolue de faire montre de patience et de pondération. Mais quand la confrontation est inévitable le pratiquant doit se lancer corps et âme dans le combat.
   3. Le karaté est au service de l'équité. L'équité est ce qui sert le bien, la vertu, « quand je m'observe et que je constate que je suis dans le vrai, alors, mes ennemis, fussent-ils un millier ou dix mille, ne peuvent m'arrêter. Cela implique bien sur qu'il faut faire preuve d'intelligence, de discernement et de force véritable ».
   4. Apprends déjà à te connaître, puis connais les autres. À force de pratique le karatéka connaît ses techniques favorites ainsi que ses propres faiblesses, en combat il doit connaître ses propres points forts mais aussi ceux de son adversaire.
   5. Le mental prime sur la technique. Voila une anecdote qui illustrera cet aphorisme: « Un jour un célèbre maître de sabre Tsukahara Bokuden voulut mettre ses fils à l'épreuve. Pour commencer, il fit appeler Hikoshiro, l'aîné des trois. En ouvrant la porte du coude, celui-ci la trouva plus lourde qu'à l'accoutumée et, en passant la main sur la tranche supérieure de la porte, constata qu'on avait disposé, en équilibre, un lourd appui-tête en bois. Il l'enleva, entra puis le remit exactement comme il avait trouvé. Bokuden fit alors venir son fils cadet, Hikogoro. Quand celui-ci poussa la porte, l'appui-tête tomba mais il le rattrapa en vol et le remit à sa place. Bokuden fit enfin appeler Hikoroku, son benjamin le meilleur, et de loin, au maniement du sabre. Le jeune homme poussa puissamment la porte et l'appui-tête tomba, heurtant son chignon. En un éclair, il dégaina le sabre court qu'il portait à la ceinture et trancha l'objet avant qu'il ne touchât le tatami. À ses trois fils, Bokuden déclara: « c'est toi Hikoshiro qui transmettra notre méthode de maniement du sabre. Toi, Hikogoro, en t'entraînant ardemment, peut-être égaleras-tu, un jour, ton frère. Quant à toi, Hikoroku, tu conduiras certainement un jour notre école à sa perte et attireras l'opprobre sur ton patronyme. Je ne peux pas donc m'offrir le luxe de garder un individu aussi imprudent dans mes rangs ». Sur ces vertes paroles il le désavoua. Cela illustre parfaitement l'importance accrue des facultés mentales sur les facultés techniques.
   6. L'esprit doit être libre. Meng Tsu évoque la quête de l'esprit « perdu » pour mettre un terme à l'errance spirituelle. Lorsque notre chien, notre chat ou nos poules se perdent nous remuons ciel et terre pour les retrouver et les ramener à la maison, mais il déplore que lorsque notre esprit (qui dirige notre corps) s'égare pour finir par se perdre totalement, nous n'essayons même pas de le remettre sur le droit chemin. À l'inverse, Shao Yung soutient que l'esprit a besoin de se perdre, si l'on attache l'esprit tel un chat en laisse, il perdra sa liberté de mouvement. Utilisez l'esprit à bon escient, laissez-le explorer à sa guise, ne le laissez pas s'attacher ou s'enfermer dans un carcan. Les néophytes exercent souvent un contrôle trop pesant sur leur mental, ils craignent de s'ouvrir au monde et de laisser leur esprit courir librement. Au cours de l'apprentissage il est préférable de suivre les consignes édictées par Meng Tzu dans un premier temps, pour, dans un second temps, libérer l'esprit préconisé par Shao Yung.
   7. Calamité est fille de non-vigilance. Combien d'accidents sont imputables à la négligence, à l'étourderie, le moindre relâchement de l'attention peut réduire à néant les efforts de préparation et de recherche effectuées au préalable, si approfondis soient-ils. En combat une « préparation bâclée » équivaut à un « désastre »; pour ne pas arriver à de tels extrêmes nous devrions constamment analyser nos actes et faire montre de beaucoup de circonspection en matière de méthodologie.
   8. La pratique du karaté ne saurait se cantonner au seul dôjô. L'objectif du karaté est de polir et nourrir à la fois le corps et l'esprit, s'il commence au dôjô au cours de la pratique, ce travail, ne doit pas s'interrompre en fin d'entraînement. Il faut pratiquer continuellement dans tous les actes de la vie quotidienne. Une alimentation déséquilibrée, un abus de boisson, des habitudes nuisibles à la santé en général auront des répercussions certaines sur la pratique au dôjô. Ils fatigueront à la fois le corps et l'esprit et détourneront l'adepte du dessein ultime de la pratique.
   9. Le karaté est la quête d'une vie entière. La Voie du karaté est sans fin, c'est la raison pour laquelle un pratiquant sincère pratiquera jusqu'à son dernier souffle. Dans Hagakure le seigneur Yagyu déclarait qu'il ne savait pas comment défaire les autres mais qu'il savait comment l'emporter sur lui-même: être meilleur aujourd'hui qu'hier et meilleur demain qu'aujourd'hui. C'est-à-dire, travailler sans relâche et jusqu'au dernier souffle pour sans cesse progresser. La Voie véritable est infinie.
  10. La Voie du karaté se retrouve en toute chose, et c'est là le secret de sa beauté intrinsèque. Un coup, de poing ou de pied, asséné ou encaissé, peut signifier vie ou mort. Telle est la doctrine au cœur du karaté-dô. Si chaque domaine de la vie est abordé avec un tel sérieux, épreuves et difficultés peuvent être dépassés. Si un pratiquant affronte chaque difficulté en ayant le sentiment que sa vie entière est en jeu, il réalisera l'étendue de ses propres ressources.
  11. Pareil à l'eau en ébullition, le karaté perd son ardeur s'il n'est pas entretenu par une flamme. L'apprentissage par la pratique revient à pousser une charrette vers le sommet d'une colline. Cessez de pousser et tous vos efforts auront été vains. Proverbe japonais. L'intégration d'une facette du karaté parmi d'autres, ou une pratique distendue, ne sauraient suffire. Seule une pratique régulière et assidue récompensera votre corps et esprit des fruits de la Voie.
  12. Ne soyez pas obsédé par la victoire; songez plutôt, à ne pas perdre. Savoir uniquement comment décrocher la victoire sans savoir comment perdre revient à se mettre soi-même en situation de défaite, ultimes paroles du shogun Tokugawa. L'attitude mentale obsédée par la victoire nourrit nécessairement un optimiste excessif qui, à son tour, nourrit impatience et irritabilité. L'attitude la plus fine consiste, au contraire, à se résoudre fermement à ne pas perdre - quel que soit l'adversaire - en prenant conscience de nos propres forces et en faisant preuve de conviction inébranlable le tout en adoptant une attitude conciliante dans la mesure du possible.
  13. Ajustez votre position en fonction de l'adversaire.
  14. L'issue d'un affrontement dépend de votre manière à gérer les pleins et les vides (forces et faiblesses). Les préceptes treize et quatorze évoquent l'attitude mentale à suivre en combat. Un combattant doit pouvoir et savoir s'adapter à son adversaire; comme l'eau qui s'écoule naturellement du haut vers le bas le combattant évite les points forts de l'ennemi pour le frapper là où il est vulnérable. Il doit éviter toute action stéréotypée, le maître mot de sa conduite doit être fluidité, souplesse, adaptation, plutôt qu'inertie et constance.
  15. Considérez les mains et les pieds de l'adversaire comme des lames tranchantes. Un pratiquant sincère de karaté-dô saura rendre ces extrémités corporelles aussi dangereuses que des armes blanches, dans cette optique même les mains et pieds d'un non-pratiquant peuvent s'avérer dangereux. Un néophyte qui s'implique corps et âme dans une lutte pour la vie, sans craindre ni blessure, ni trépas peut libérer une puissance considérable et extraordinaire, et être capable de défaire n'importe quel débutant. Que l'adversaire soit ou non, initié aux arts martiaux, ne doit en aucun cas nous leurrer sur son potentiel.
  16. Faites un pas hors de chez vous et ce sont un million d'ennemis qui vous guettent.
  17. Le kamæ, ou posture d'attente, est destiné aux débutants; avec l'expérience, on adopte le shizentai (posture naturelle).
  18. Recherchez la perfection en kata, le combat réel est une autre affaire. Les katas sont la moelle de l'entraînement du karaté-dô, il convient de ne pas les dénaturer et de s'y entraîner conformément à l'enseignement dispensé par le maître. Anko Itosu disait « Respectez la forme des katas, ne cherchez pas à en travailler l'esthétique ». En combat réel, il ne faut pas s'embarrasser ou de se laisser entraver par les rituels propres aux katas, le pratiquant doit dépasser le cadre imposé par ces formes et se délacer librement en fonction des forces et faiblesses de l'adversaire.
  19. Sachez distinguer le dur du mou, la contraction de l'extension du corps et sachez moduler la rapidité d'exécution de vos techniques. Les combinaisons citées dans ce précepte s'appliquent aussi bien en kata qu'en combat réel. Si l'on exécute les katas sans combiner la possibilité de moduler l'intensité et le rythme des techniques ou l'alternance extension/contraction, l'exercice perd toute sa valeur. L'alternance dur-mou, extension-contraction, lenteur-célérité, inspiration-expiration est de première importance en combat et peut déterminer l'issue d'un affrontement.
  20. Vous qui arpentez la Voie, ne laissez jamais votre esprit s'égarer, soyez assidu et habile. Que l'on adopte un point de vue spirituel ou technique le pratiquant ne doit jamais laisser son esprit « s'égarer » et doit être « assidu et habile ». De nombreux maîtres ont illustrés ce précepte:

je préciserais que de mon avis le shotokan a évoluer du mauvais coté de la pente, les élites actuelle sentant leurs vieux os les lacher, cherche a l'adoucir mais je crois que le mal est fait.......
Titre: Re : Les styles shotokan
Posté par: shoto le février 28, 2011, 02:23:46 am
quesce que tu dire par ma réponse est une bétise ou quel parti.quand tu dit:les élites actuelle sentant leurs vieux os les lacher, cherche a l'adoucir mais je crois que le mal est fait.......  tu parle surment de compétition il faut voir plus loin que c'est stupid jeu de ce moi le meilleur cette journé las
Titre: Re : Les styles shotokan
Posté par: psyco_mantis le février 28, 2011, 08:31:48 am
quesce que tu dire par ma réponse est une bétise ou quel parti.quand tu dit:les élites actuelle sentant leurs vieux os les lacher, cherche a l'adoucir mais je crois que le mal est fait.......  tu parle surment de compétition il faut voir plus loin que c'est stupid jeu de ce moi le meilleur cette journé las

ai-je cité "compétition" dans mon message? ? ?

je pare de l'art martial pas de compétition  #vomir#
Titre: Re : Les styles shotokan
Posté par: shototaï le février 28, 2011, 09:37:21 am
@Shoto

Ton post est incomplet, tu ne mentionnes pas : senseï Kanazawa , chef instuctor JKA, qui a créé le SKI (shotokan karaté international) senseï Kase fondateur du kasée ryu, senseï Nishiyama fondateur de l'IAKF...

Tu dis que les positions sont différentes ; c'est faux pour au moins les styles que j'ai indiqué + la JKA...

Tu affirmes aussi que les bunkaïs sont différents  :S évidemment car ils sont différents pour chaque pratiquant qui lui même ne doit pas en utiliser un identique dans 2 situations différentes...

 Es-ce qu'une jeunette de 50kg face à un gars de 100 va faire le même que le gars de 100 à la fille de 50????

Quand à dire que seul le shotokan a évolué #circonspect#
Titre: Re : Les styles shotokan
Posté par: lsd le février 28, 2011, 09:48:14 am
salut shototai ,quel déscription tu donnerais au karaté de maitre kasé comparé a celui de sensei kanazawa il est question de personne et non pas du style de chacun  :)
Titre: Re : Re : Les styles shotokan
Posté par: shoto le février 28, 2011, 13:49:55 pm
@Shoto

Ton post est incomplet, tu ne mentionnes pas : senseï Kanazawa , chef instuctor JKA, qui a créé le SKI (shotokan karaté international) senseï Kase fondateur du kasée ryu, senseï Nishiyama fondateur de l'IAKF...

Tu dis que les positions sont différentes ; c'est faux pour au moins les styles que j'ai indiqué + la JKA...


 Es-ce qu'une jeunette de 50kg face à un gars de 100 va faire le même que le gars de 100 à la fille de 50????

Quand à dire que seul le shotokan a évolué #circonspect#
je me trompe peu etre mais kanazawa sensei n'a pas quité ja JKA en 2007 nishiyama a fondé l itkf et non iakf.je m'explique pour les position différente avec nyshyama nous avons apris comment mesurer la longuer du zenkutstu dachi largeur de épaule et longeur de la hanche jusqu'au sol.Jka 1 1/2 largeur des épaule et 2x longeur des epaule pour la longeur (je ne suis pas sur a 100/100 pour la jka car il ya vraiment loongtemp que j'ai fait)
le shotokan a évoler ici au québec  car les japonais délivre leur secret pour (nishiyama) je sais qu'il est mort mais je suis un membre ISKA par Cruze sensei

c'Est sur que chaque personne adopte sont style de karaté mais ils sont tous bon je n'ai pas de préférence du karaté c'est du karaté
Titre: Re : Les styles shotokan
Posté par: papounet le février 28, 2011, 15:46:48 pm


Plusieurs personnages célèbres ont chacun façonné cet art martial sur L’île d’Okinawa .

    * Satugawa Kanga (1782-1838), père fondateur de la branche la plus répandue du karaté moderne, conduisant au shotokan actuel.
    * Son successeur Matsumara Sokon (1798-1890), dit « Bushi » (le guerrier), fonde le jigen-ryu, style puissant où il préconise la répétition du même geste des milliers de fois par jour. Il développa le shuri-te dans un esprit différent de celui de Naha : plus dur, plus direct et qui adopte la distance du sabre (et non celle du corps à corps).
    * Itosu Anko (1830-1915) forme un nombre d’élèves restreint et rigoureusement choisi, dont Gichin Funakoshi.

Il faut bien comprendre que ce sont les chinois lors de démonstration en okinawa qui ont incité les Okiawaiens à essayer de les imiter.

Gichin Funakoshi (1868-1957) va à plusieurs égards révolutionner la pratique de cet art martial.

A la traditionnelle diffusion réduite, il permettra une diffusion plus large grâce à un travail pédagogique.
Notamment, les techniques habituellement effectuées les mains ouvertes sont réalisées avec le poing fermé.
Le poing constitue une arme moins forte qui va de paire avec un développement grand public.

Partant au Japon pour développer son art martial, Gichin Funakoshi y intègrera tout un cérémonial : tenue spécifique, salut, … d’inspiration japonaise.

Il introduit l’appellation « karaté » (main vide en japonais).

A noter que kara à plusieurs homonyme en japonais...
 et il signifie soit "chine" soit "vide"...
on pourrait donc traduire par main de chine ou main vide.
Compte tenue de l'état d'esprit du japon vis à vis de la chine... je vous laisse méditer sur le sens qu'à bien voulu y donner le japon et le sens réel du terme : karaté...  :)
Titre: Re : Les styles shotokan
Posté par: papounet le février 28, 2011, 16:18:00 pm
Gichin Funakoshi s’opposant à toute forme de compétition,
les premières ont lieu peu de temps après sa mort d’abord au Japon.
Leur grand succès populaire consacre cette nouvelle orientation du karaté.

Et voilà comment d'un art martial pratiqué en chine,
les okinawiens tant bien que mal essai d'imiter des chinois de passage dans leur île car les chinois ne leur enseignent pas,
puis Funakoshi édulcore cet art pour le rendre moins dangereux et part au japon,
puis les japonnais impose leur rituel de soumission et de soif d'égo (ceinture, salut,...)
transforme le nom de karaté (main de chine) par main vide  :D
puis organise des compétitions et la boucle et bouclé  :D

D'un art martial de chine, on se retrouve avec un sport venu du japon.
Avec tout les ingrédients que le peuple raffole :
édulcoré réellement mais pas dans sa présentation  :D
ceinture de couleur en guise de carotte, de reconnaissance visible, d'égo  :-X
compétition offrant une publicité gratuite  ::) et un divertissement connu depuis la nuit des temps  #circonspect#

Voili voilu c'était la minute prise de conscience  :P
Titre: Re : Les styles shotokan
Posté par: shototaï le février 28, 2011, 21:57:57 pm
Citer
je me trompe peu etre mais kanazawa sensei n'a pas quité ja JKA

Tu te trompes..il a quitté la JKA en 1977 pour fonder la SKI .J'en suis d'autant plus sur que c'est mon prof qui l'a fait venir en France la première fois.

Citer
nishiyama a fondé l itkf et non iakf

IAKF en 1974 : fédération  de karaté amateur international , l'ITKF est venue plus tard

Citer
nous avons apris comment mesurer la longuer du zenkutstu dachi

Vous faites ça avec un mètre  ??? :-[ la bonne longueur/largeur d'un zen est celle(s) dans laquelle tu te sens bien (déterminer des mesures standards serait faire abstraction des différences de morphologie)

Citer
quel déscription tu donnerais au karaté de maitre kasé comparé a celui de sensei kanazawa

Senseî Kanazawa à codifier tout une série de travail à 2 (les ippon kumité) je crois qu'il est le seul à l'avaoir fait (perso je n'aime pas) ensuite il est pratiquant de taï chi et cela se ressent dans son travail.

Senseî Kase aurait eu des ancetres samouraï et il a mis au point des techniques reprenant des gardes de katana. L'apprentissage de ces techniques est assez destabilisant mais une fois acquis les principes il y a de quoi se faire plaisir

http://www.kase-ha.com/Sections/SenseiKase/Sensei%20Kase%20-%20Techniques/images/4.jpg (http://www.kase-ha.com/Sections/SenseiKase/Sensei%20Kase%20-%20Techniques/images/4.jpg)
Titre: Re : Les styles shotokan
Posté par: shoto le février 28, 2011, 22:39:07 pm
voici comment on fais pour mesurer un zenkutsu dachi avec la ligné nishiyama
1-vous mesurer la largeur de vos épaule ceci vas vous donné la largeur de votre zenkustu dachi
2-pour la longeur vous mesurer a partir du haut de votre hanche jusqu'au sol ceci vous donneras votre musur pour vous et non celle du voisin.
3-pour placer la longeur de L'orteille avant jusqu'au talon arrière en diagonal.

le zenkutsu fais de cette façon et très biomécanique et aucun danger pour les articulation

merci pour les info sur kanazawa car j'avais lu a quelque par quil avait quité juste en 2007 et kase elle m'échapais je n'avais pratiquement aucun info sur lui
Titre: Re : Les styles shotokan
Posté par: lsd le mars 01, 2011, 11:52:04 am
merci beaucoup pour ta réponse shototaî sensei ...Y a de quoi faire débat ! :)
Titre: Re : Les styles shotokan
Posté par: shototaï le mars 01, 2011, 16:44:05 pm
Citer
le zenkutsu fais de cette façon et très biomécanique

Tu parles beaucoup de biomécanique  #circonspect# la seule façon, que je connaisse, de ne pas utiliser la bio mécanique c'est d'être mort  :S

Citer
pour vous et non celle du voisin.

Citer
aucun danger pour les articulation

Quand je parle des différences de morphologie ça ne concerne pas uniquement la taille...

Une articulation ça comporte des segments osseux, des tendons, des ligaments...chez certains cela permet une grande amplitude et chez d'autres beaucoup moins
Titre: Re : Les styles shotokan
Posté par: shoto le mars 01, 2011, 18:06:28 pm
que dirait tu si on ouvrais un poste sur le zenkoustu dachi pour avoir les explication de plusieur personne