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Forums par thèmes => Discussions générales => Discussion démarrée par: skipy le janvier 09, 2013, 21:05:28 pm

Titre: juste comme
Posté par: skipy le janvier 09, 2013, 21:05:28 pm
salut à tous !

Vous auriez l'opportunité ou les moyens ou juste l'envie en ce moment de créer une entreprise vous créeriez quoi comme sorte de bizness  ?
Titre: Re : juste comme
Posté par: skipy le janvier 10, 2013, 11:18:52 am
moi j'aimerai ouvrir un truc qui soit en rapport avec le tatouage.
Titre: Re : juste comme
Posté par: dom. le janvier 10, 2013, 13:21:22 pm
Un centre d'amélioration personnelle, pas tout seul, avec des personnes compétentes.
Comprenant:
-techniques mentales.
-méditation, sous différentes formes.
-taichi chuan.
-yoga.
-club de philosophies.
-psychothérapies (bien triées).
-arts martiaux.
Titre: Re : juste comme
Posté par: jomtien le janvier 10, 2013, 20:16:58 pm
sqipy   moi j'aimerai ouvrir un truc qui soit en rapport avec le tatouage.

Signification Tatouage Thailandais du Cambodge et Laos


Le Sak Yant, Tatouage thailandais, est complexe et simple à la fois.

En effet, ils ont tous comme vertus la protection pour son porteur.

En plus ils apportent santé, richesse, prospérité, force, résistance et charme selon ce que le Maître tatoueur décide de donner aux fidèles.

Il existe des centaines de yant différents, voici une liste non exhaustive des principaux motifs.
 



:http://www.sak-yant.be/article-signification-tatouage-thailandais-82282484.html (http://www.sak-yant.be/article-signification-tatouage-thailandais-82282484.html)


Entre art et mysticisme, le Sak Yant est un style de tatouage caractéristique de la Thaïlande. Sak signifie « tatouer » et Yant signifie « prières sacrées ». Il s’agit donc de l’art de se tatouer des prières sacrées sur le corps.
 
A la composante tatouage doit être associée une composante magique quand on parle de Sak Yant. En effet, ces tatouages, rédigés en Sanskrit et se présentant généralement sous une forme pyramidale, sont supposés attribuer force, chance et pouvoirs surnaturels à leur porteur.
 
Un authentique tatouage Sak Yant doit être réalisé par un moine bouddhiste ou un prêtre brahmane. Cependant, certaines rumeurs indiquent que des ermites des montagnes du Nord Thaïlande seraient également capables de réaliser des tatouages Sak Yant dans les règles de l’art en les chargeant de pouvoirs magiques protecteurs.

 
La réalisation d’un tatouage Sak Yant n’est donc pas une mince affaire puisqu’il ne s’agit pas d’une simple prestation en magasin spécialisé mais bel et bien d’un rituel qui doit être accompli avec l’aide d’un expert religieux.
Titre: Re : juste comme
Posté par: skipy le janvier 10, 2013, 22:51:26 pm
je te remercie jomtien pour ton le site que tu ma passé je l'ai trouvé très intéressant.
   
Titre: Re : Re : juste comme
Posté par: jomtien le janvier 11, 2013, 10:58:00 am
je te remercie jomtien pour ton le site que tu ma passé je l'ai trouvé très intéressant.
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https://www.youtube.com/watch?v=-R921ACZ9BU (https://www.youtube.com/watch?v=-R921ACZ9BU)  

Les boxes sud-est asiatiques ( Kun Khmer boxe khmère)( Lethwei Boxe birmane) (Muay lao Boxe Laotienne) et Muay Thaï…) ne sont donc pas d’essence bouddhiste mais bien hindoue. Par parenthèse, on note souvent la persistance de pratiques hindouistes chez de nombreux boxeurs ( tatouages sur le corps, d'effigies de dieux hindous, de textes sacrés en Sanskrit) à des fins de protection.

Le Muay n’appartient pas à la branche des arts martiaux chinois puis japonais issus de l’expansion du bouddhisme par les terres en Chine via le Tibet, sur les pas de BODDHI DARMA ( 4ème siècle de notre ère). Lequel venait lui aussi du Kerala en Inde.

VISIONNAIRE, le roi d’Ayuttaya, fera grâce aux survivants d’Angkor de souche noble, afin d’imprégner sa propre cour de la culture et des arts issus d’Angkor. Elevé à la dignité d’art de cour, la boxe libre fut alors si fortement liée à la culture thaïlandaise, qu’elle n’a jamais vraiment dans ce pays, connu de déclin jusqu’à nos jours.

On doit donc aux thaïlandais d’Ayuttaya d’avoir fait du Muay ( la boxe libre) un sport de Roi, assurant ainsi la pérennité d’un héritage parvenu jusqu’à nous.




























Les origines :
Au XIVe siècle, Les thaïs du royaume Siam d'Ayutthaya firent tomber le royaume voisin d’Angkor ( Cambodge actuel). Décrits dès le 1er Siècle par les chroniques chinoises, à propos du royaume du « Fou-nan » (du khmer « Phnom »), les khmers d’Angkor pratiquaient depuis mille ans déjà des techniques de combats apprises des migrants hindous venus par la mer, du Kerala en Inde : Les techniques du Kalari Palat, ancêtre de tous les arts martiaux asiatiques.
Les thaïs du Siam adoptèrent les techniques de combats qui avaient jusque là, assuré la suprématie des khmers.

 Les boxes sud-est asiatiques ( Kun Khmer, Lethwei, Muay lao, Muay Thaï…) ne sont donc pas d’essence bouddhiste mais bien hindoue. Par parenthèse, on note souvent la persistance de pratiques hindouistes chez de nombreux boxeurs ( tatouages sur le corps, d'effigies de dieux hindous, de textes sacrés en Sanskrit) à des fins de protection.
Le Muay n’appartient pas à la branche des arts martiaux chinois puis japonais issus de l’expansion du bouddhisme par les terres en Chine via le Tibet, sur les pas de BODDHI DARMA ( 4ème siècle de notre ère). Lequel venait lui aussi du Kerala en Inde.

VISIONNAIRE, le roi d’Ayuttaya, fera grâce aux survivants d’Angkor de souche noble, afin d’imprégner sa propre cour de la culture et des arts issus d’Angkor. Elevé à la dignité d’art de cour, la boxe libre fut alors si fortement liée à la culture thaïlandaise, qu’elle n’a jamais vraiment dans ce pays, connu de déclin jusqu’à nos jours.

On doit donc aux thaïlandais d’Ayuttaya d’avoir fait du Muay ( la boxe libre) un sport de Roi, assurant ainsi la pérennité d’un héritage parvenu jusqu’à nous.


L’émergence
En 1411, à la mort du roi du Siam Sen Muang Ma, ses deux fils Ki et Fang voulurent s'emparer du pouvoir. Leurs armées respectives n'arrivant pas à se départager sur le champ de bataille, ils décidèrent de régler leur conflit par un duel. Chaque camp choisit son meilleur boxeur. L'homme de Fang fut battu, et Ki monta sur le trône. La technique de combat de son « boxeur » fit école…
La légende raconte qu'en 1767, en pleine guerre birmano-thaïlandaise, Naï Khanom Tom, soldat et boxeur fut prisonnier du camp adverse et opposé à dix champions birmans qu'il vainquit les uns après les autres. Devenu héros national, les Thaïlandais lui rendent hommage chaque année à l'occasion de la "Nuit des boxeurs".

Au XVIe siècle, le Muay Thaï faisait partie de l'entraînement militaire. Il atteignit son plus haut degré de popularité au début du XVIIIe siècle, sous le règne de Pra Chao Sua, "le Roi Tigre". C'était le passe-temps favori de la population ; chaque village organisait des combats régulièrement. Le roi, qui était un boxeur de première force s'amusait à défier les champions locaux ! À l'époque les combattants protégeaient leurs poings en se bandant les mains avec du crin de cheval. Plus tard, le crin fut remplacé par des bandes de coton maintenues avec de la glu. On se servait de coquillages ou d'écorces d'arbres, comme coquille !  À cette époque, les combats se déroulaient sans catégories de poids ni de limite de temps.


L’ère moderne
L'armée continua à accroître la notoriété du Muay Thaï. Les soldats s'y entraînaient et utilisaient ses techniques. Pour les militaires, il fut " l'art martial du champ de bataille ".

En 1921, le premier ring fit son apparition sur le stade de Suan Kulap à Bangkok. Puis, considérée comme dangereuse, voire mortelle, la boxe thaï fut interdite. C'est en 1930 que le Muay Thaï réapparut en adoptant définitivement une partie des règles de compétition et les techniques de poings de la boxe anglaise (gants, ring, etc.). 1945, vit apparaître le premier stadium dédié au Muay Thaï : Le Radjadamnoem.