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Forums par thèmes => Philosophie / Spiritualité => Discussion démarrée par: lsd le janvier 15, 2015, 23:41:23 pm
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Un jeune couple venait de s’installer dans un nouveau quartier...
Le lendemain matin, au moment où le couple prenait le petit déjeuner, la femme aperçut leur voisine qui étendait son linge .
...Quel linge sale! dit elle. Elle ne sait pas laver.
Peut-être a-t-elle besoin d’un nouveau savon pour mieux faire sa lessive....
Son mari regarda la scène mais garda le silence.
C’était le même commentaire chaque fois que la voisine séchait son linge...
Après un mois, la femme fut surprise de voir un matin que le linge de sa voisine était bien propre et elle dit à son mari :
Regarde! Elle a enfin appris à laver son linge maintenant. Qui le lui a enseigné ?
Le mari répondit:
Personne... Je me suis levé tôt ce matin et j’ai lavé les vitres de notre fenêtre !
Moralité :
Parfois tout dépend de la propreté de la fenêtre à travers laquelle nous observons les faits...
Avant de critiquer, il faudrait peut-être vérifier d’abord la qualité de notre regard. Alors, nous pourrions voir avec clarté, la limpidité du cœur des autres.
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plus un ;-)p.
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Excellente histoire ;-)p
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Excellente histoire ;-)p
"Posté par": lsd EXCELLENT ;-)p JE Note !
Un jeune couple venait de s’installer dans un nouveau quartier...
Le lendemain matin, au moment où le couple prenait le petit déjeuner, la femme aperçut leur voisine qui étendait son linge .
...Quel linge sale! dit elle. Elle ne sait pas laver.
Peut-être a-t-elle besoin d’un nouveau savon pour mieux faire sa lessive....
Son mari regarda la scène mais garda le silence.
C’était le même commentaire chaque fois que la voisine séchait son linge...
Après un mois, la femme fut surprise de voir un matin que le linge de sa voisine était bien propre et elle dit à son mari :
Regarde! Elle a enfin appris à laver son linge maintenant. Qui le lui a enseigné ?
Le mari répondit:
Personne... Je me suis levé tôt ce matin et j’ai lavé les vitres de notre fenêtre !
Moralité :
Parfois tout dépend de la propreté de la fenêtre à travers laquelle nous observons les faits...
Avant de critiquer, il faudrait peut-être vérifier d’abord la qualité de notre regard. Alors, nous pourrions voir avec clarté, la limpidité du cœur des autres.
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Moralité :
Parfois tout dépend de la propreté de la fenêtre à travers laquelle nous observons les faits...
Avant de critiquer, il faudrait peut-être vérifier d’abord la qualité de notre regard. Alors, nous pourrions voir avec clarté, la limpidité du cœur des autres.
Magnifique. Trop peu appliqué malheureusement (par moi aussi :-[) Bien ça fait réfléchir. Merci lsd. :-)\_
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Un homme marche sur une route .Soudain ,il remarque un sadhu (sage indien) agenouillé prés d'un fossé .Il s'approche et voit que le sadhu est entrain d'observer un scorpion .Le scorpion veut traverser le fossé mais quand il entre dans l'eau boueuse ,il commence à couler.Le sadhu avance précautionneusement la main pour le retirer hors de l'eau mais dés qu'il le touche ,le scorpion le pique .Le scorpion va de nouveau dans l'eau, il recommence à couler et quand le sadhu le soulève ,il reçoit une autre piqûre .L'homme regarde la scène se reproduire trois fois .Finalement il laisse échapper : "pourquoi vous laissez -vous piquer ? Le sadhu répond quoi a votre avis :)
(https://smallactofkindness.files.wordpress.com/2014/03/download.jpg)
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Un homme marche sur une route .Soudain ,il remarque un sadhu (sage indien) agenouillé prés d'un fossé .Il s'approche et voit que le sadhu est entrain d'observer un scorpion .Le scorpion veut traverser le fossé mais quand il entre dans l'eau boueuse ,il commence à couler.Le sadhu avance précautionneusement la main pour le retirer hors de l'eau mais dés qu'il le touche ,le scorpion le pique .Le scorpion va de nouveau dans l'eau, il recommence à couler et quand le sadhu le soulève ,il reçoit une autre piqûre .L'homme regarde la scène se reproduire trois fois .Finalement il laisse échapper : "pourquoi vous laissez -vous piquer ? Le sadhu répond quoi a votre avis :)
(https://smallactofkindness.files.wordpress.com/2014/03/download.jpg)
Il répond : "AAAAAARRRRGGGGHHH!"
Bon OK, je sors... #toutseul#
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Il est dans la nature du scorpion de piquer. Il est dans la nature du sadhu d'essayer de sauver le scorpion.
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Ombre en plein jour vient de me piquer ma réponse mais je laisse
"Parce que c'est dans la nature du scorpion de piquer" ?
La morale ? #circonspect# :-(@#*)-: "Doit-on sauver les autres contre eux-même ?"
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cette histoire a été relatée par Dr Deepak Chopra dans son livre ''Le corps Qantique" je vous donne un résumé .... Dr Chopra travaillé dans un centre anti alcool ils fournissaient avec son équipe beaucoup d'éfforts pour désintoxiquer ses malades et une fois sortie de cet hopital la premiére chose qu'ils font (pas tous je suppose) c'est de se diriger vers le bar le plus proche ils pouvaient les apercevoir par la fenêtre .....
Dr Chopra: La compassion dans ces-cas-là a ses limites .........mais l'essence de la compassion est de reconnaître combien il est difficile d'être bon .Pardonner à quelqu'un ,c'est le laisser libre ,même s'il abuse de cette liberté ,en dépassant les limites de notre exaspération .puis il cite cette histoire ........merciiii #@ninja#
nb/ la réponse de ombre est juste #adjuge#
(http://www.snk-seiya.net/guiasaintseiya/yin-yang3.jpg)
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si l'on prend l'histoire du coté générosité:
plus le sage donne aux autres, plus il a pour lui même( Lao Tseu)
si du coté "sang-froid"
l'homme maitre de soi n'aura pas d'autre maitre(Lao Tseu)
on peut aussi tirer comme morale :
fait du bien a un vilain il te fera quaqua dans la main (non il n'y a pas une faute orthographe, c'est pour "passer" la "censure") :)
#fuite#
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(https://encrypted-tbn3.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcRYQtQXslzbrXhu0q_cyjSuCpg3PUXSvGElPFU6ySaPc08NHE4G) ok le promeneur
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Sawadee
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(http://www.rawaimuaythai.com/2009-fight-results/29%20May%20yodsenklai.jpg) #chinois#
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Un homme marche sur une route .Soudain ,il remarque un sadhu (sage indien) agenouillé prés d'un fossé .Il s'approche et voit que le sadhu est entrain d'observer un scorpion .Le scorpion veut traverser le fossé mais quand il entre dans l'eau boueuse ,il commence à couler.Le sadhu avance précautionneusement la main pour le retirer hors de l'eau mais dés qu'il le touche ,le scorpion le pique .Le scorpion va de nouveau dans l'eau, il recommence à couler et quand le sadhu le soulève ,il reçoit une autre piqûre .L'homme regarde la scène se reproduire trois fois .Finalement il laisse échapper : "pourquoi vous laissez -vous piquer ? Le sadhu répond quoi a votre avis :)
(https://smallactofkindness.files.wordpress.com/2014/03/download.jpg)
Il répond : "AAAAAARRRRGGGGHHH!"
Bon OK, je sors... #toutseul#
Parce que c'est dans la nature du scorpion de piquer" ?
La morale ? Circonspect Dispute "Doit-on sauver les autres contre eux-même ?"
Il est dans la nature du scorpion de piquer. Il est dans la nature du sadhu d'essayer de sauver le scorpion.
Comment appeler cela Histoire de sagesse ou Loi de la Nature !
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Comment appeler cela Histoire de sagesse ou Loi de la Nature !
suivre les lois de la nature c'est vivre en cotoyant la sagesse #yinyang#
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Comment appeler cela Histoire de sagesse ou Loi de la Nature !
suivre les lois de la nature c'est vivre en cotoyant la sagesse #yinyang#
Moi j'essaye mais j'en suis Loin !
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Moi j'essaye mais j'en suis Loin !
eceque il existe dans Le royaume du Siam des phénomènes qui sont au delà des mots (des saveurs ....par exemple.......un paysage pittoresque qu'on capte avec tout notre être et pas seulement avec la logique du mental pour certains cette fréquence c'est une ébauche de la sagesse @-D et ça tu dois le faire souvent je pense :)
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/////Une façon de voir les choses... #papy#
Jerry est gérant dans la restauration à Québec ;) . Il est toujours de bonne humeur et a toujours quelque chose de positif à dire. Quand on lui demande comment il va, il répond toujours: "Si j'allais mieux que ça, nous serions deux: mon jumeau et moi!" Quand il déménage, plusieurs serveurs et serveuses sont prêts à lâcher leur job pour le suivre d'un restaurant à un autre pour la seule raison qu'ils admirent son attitude.
Il est un motivateur naturel.
Quand un employé file un mauvais cocon, Jerry est toujours là pour lui faire voir le bon côté des choses.
Curieux, je suis allé voir Jerry un jour pour lui demander: "Je ne comprends pas. Il n'est pas possible d'être toujours positif comme ça, partout, tout le temps. Comment fais-tu?"
Et Jerry de répondre: "Tous les matins à mon réveil, je me dis que, aujourd'hui, ou bien je choisis d'être de bonne humeur, ou bien je choisis d'être de mauvaise humeur. Je choisis toujours d'être de bonne humeur.
Quand il arrive quelque incident déplorable, ou bien je choisis d'être la victime, ou bien je choisis d'en tirer une leçon. Quand quelqu'un vient se plaindre à moi, ou bien je choisis d'entendre sa plainte, ou bien j'essaie de lui faire voir le bon côté de la chose."
"Mais ce n'est pas toujours si facile", lui dis-je. Et Jerry d'enchaîner: "La vie, c'est une question de choix. On choisit sa façon de réagir aux situations. On choisit de quelle façon les autres peuvent nous influencer ou non. On choisit d'être de bonne humeur ou de mauvaise humeur. On choisit de vivre sa vie de la manière qui nous convient."
Plusieurs années plus tard, j'entends dire que Jerry a fait incidemment ce qu'on ne doit jamais faire dans la restauration: il a laissé déverrouillée la porte arrière du restaurant un bon matin et il s'est fait surprendre par trois voleurs armés. En essayant d'ouvrir le coffre fort, sa main tremblait de nervosité, il n'arrivait pas à faire la combinaison numérique.
Un des intrus a paniqué et a tiré. Heureusement pour Jerry, les choses n'ont pas traîné et il a été vite transporté à l'hôpital. Après dix-huit heures de chirurgie et des semaines de soins intensifs, Jerry a reçu son congé de l'hôpital avec des débris de la balle qu'on avait réussi à lui retirer du corps.
J'ai revu Jerry six mois après l'incident et je lui ai demandé comment il réagissait à tout ça. "Si j'allais mieux que ça, dit-il, nous serions deux: mon jumeau et moi. Tu veux voir les cicatrices?" Je n'ai pas voulu voir la blessure mais je lui ai demandé ce qui lui avait passé par la tête au moment du vol.
Et Jerry de dire: "La première chose qui m'est venu à l'idée est que j'aurais dû fermer à clé la porte arrière du restaurant. Et puis, étendu sur le plancher après m'être fait tiré une balle, je me suis souvenu que je pouvais encore faire un choix: ou bien de vivre ou bien de mourir.Et j'ai choisi de vivre."
"T'as pas eu peur?" lui dis-je. Et lui de répondre: "Les ambulanciers ont été bien corrects. Ils n'ont pas essayé de me dire que tout allait bien. Mais en entrant dans le bloc opératoire de l'hôpital, j'ai vu l'expression faciale des médecins et des infirmières et, là, j'ai eu peur. J'ai vu dans leurs yeux que j'étais un homme mort et j'ai su que je devais agir vite."
"Et alors, qu'as-tu fait?" "Eh bien, mon ami, il y avait une grosse infirmière qui me bombardait de questions; elle voulait savoir si j'étais allergique à quelque chose. J'ai dit oui, et les médecins et les infirmières se sont arrêtés pour entendre ce que j'allais leur dire.
J'ai pris une profonde respiration et je leur ai dit que j'étais allergique aux balles de fusil! Quand ils ont eu cessé de rire, je leur ai dit que j'avais fait le choix de vivre et qu'ils feraient mieux de m'opérer comme si j'étais un homme vivant plutôt qu'un homme mort!" ;-)p
Jerry a survécu grâce à l'expertise des médecins mais aussi grâce à son attitude étonnante! J'ai appris de lui que, tous les jours, nous devons faire des choix: ou bien profiter pleinement de la vie ou bien s'y emmerder tant qu'on veut.
La seule chose qui nous appartient et que personne ne peut contrôler, ni nous enlever, ce sont nos attitudes. Alors, quand on peut cultiver des attitudes positives, tout le reste est de la petite bière.
Maintenant, c'est à vous de choisir!
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Concernant l'histoire du "sage" et le scorpion, le "sage" a manqué de jugement.
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Jerry a une très belle philosophie, mais ils sont rare au Québec... et probablement ailleurs. ;-)p
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Concernant l'histoire du "sage" et le scorpion, le "sage" a manqué de jugement.
(http://qqcitations.com/images-citations/quote-la-vraie-philosophie-est-de-voir-les-choses-telles-qu-elles-sont-georges-louis-leclerc-de-buffon-201687.jpg) :-)UU(-:
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Voir les choses telles qu'elles sont, peut quelques fois nous faire tombé dans un pièges.
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(http://qqcitations.com/images-citations/quote-la-vraie-philosophie-est-de-voir-les-choses-telles-qu-elles-sont-georges-louis-leclerc-de-buffon-201687.jpg) :-)UU(-:
référence au mythe de la caverne? #papy#
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Qu'est-ce que le mythe de la taverne, oh pardon, de la caverne. :-)UU(-:
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J'imagine que ça fait référence à l'Allégorie de la Caverne de Platon.
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(http://qqcitations.com/images-citations/quote-la-vraie-philosophie-est-de-voir-les-choses-telles-qu-elles-sont-georges-louis-leclerc-de-buffon-201687.jpg) :-)UU(-:
référence au mythe de la caverne? #papy#
Ben non. Dans la caverne les hommes ne voient que les ombres des Idées qui pour Platon existent réellement.
Voir les choses telles qu'elles sont, ce serait les voir (cf. Kant) telles qu'elles sont hors de notre perception, telles qu'elles sont en elles-mêmes, hors de toute observation c'est à dire indépendamment du crible que constituent tout organisme et tout système descriptif. Ce qui nous est impossible. Nous ne pouvons voir les choses que comme phénomènes c'est à dire littéralement choses qui apparaissent.
Plus immédiatement concret, on peut dire que tout apparait dans une perspective. Voir les choses "comme elles sont", çà a du sens chez Buffon dans le cadre étroit d'une classification et d'une taxinomie des organismes. Cette même vérité proclamée comme une généralité absolue, hors de tout contexte spécifié, est tout simplement un non-sens ou une profession de foi mystique.
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Ah, la foi mystique, elle ne déplace pas seulement les montagnes, mais les fait exploser. :-|--)-:
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@ niveau 2 (:D )
Voir les choses telles qu'elles sont, peut quelques fois nous faire tombé dans un pièges.
Tout est illusion'. ;D
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Si nous-même sommes Illusion, donc, il n'y a pas d'Illusions.
Car une Illusion qui ne sait pas quel est une Illusion, n'est pas Illusion. Grand Mystère. #circonspect#
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///Un maître zen prenait de l’eau dans un puits quand un visiteur qui avait fait un long voyage lui demanda, « Où puis-je trouver le maître de ce monastère ? » Il pensait que cet homme qui prenait de l’eau au puits n’était qu’un serviteur, un bouddha ne ferait pas cela, un bouddha ne nettoie pas le parquet !
Le maître éclata de rire et dit, « Je suis la personne que vous cherchez. »
L’admirateur ne pouvait pas y croire. « J’ai beaucoup entendu parler de vous, mais je ne peux pas concevoir que c’est vous qui allez chercher l’eau au puits. »
Le maître répondit, « Mais, c’est ce que je faisais avant l’illumination. Transporter l’eau, couper du bois, c’est ce que j’ai toujours fait et c’est pourquoi je continue. Je sais bien faire ce travail. Venez avec moi, je vais aller maintenant couper du bois, venez me regarder ! » « Quelle est alors la différence ? Avant l’illumination, vous faisiez ces deux tâches, après l’illumination, vous faites encore les deux mêmes choses. Qu’est-ce qui a changé ?
Le maître riait. « La différence est à l’intérieur. Avant, je faisais les choses dans un état de sommeil. Maintenant, je les fais avec conscience, c’est la seule différence. Les activités sont les mêmes mais je ne suis pas le même. Le monde est le même, mais je ne suis pas le même. Et parce que je ne suis plus le même, pour moi, le monde aussi n’est plus le même. ///
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Un sage se promène avec ses trois disciples dans les jardins d’un monastère. Voyant un escargot qui dévore une salade, le premier disciple l’écrase du pied.
Le deuxième dit alors :
– Maître, n’est-ce pas un péché que d’écraser cette créature ?
Le Maître lui répond :
– Tu as raison, mon fils.
Le premier répond alors :
– Mais il mangeait notre nourriture, n’ai-je pas bien fait ?
Le Maître lui répond :
– Tu as raison mon fils.
Le troisième dit alors :
– Ils disent tous les deux des choses contradictoires, ils ne peuvent avoir tous les deux raison ?
Et le Maître lui répond :
– Tu as raison mon fils !
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Il était une fois un couple de jeunes mariés, qui était très très pauvre et vivait dans la précarité la plus totale, un jour le mari fait la proposition suivante à l'épouse
" Chérie je vais partir, voyager très loin, jusqu'à ce que je trouve un emploi correct et je ne reviendrai que quand je pourrais t'offrir une vie digne et confortable, je ne sais pas combien de temps je serais loin de toi, je ne te demande qu'une seule chose, c'est que tu m'attendes et que tu sois fidèle comme moi je le serai. Comme convenu, le jeune est parti, il à marché pendant des jours et des jours, jusqu'à ce qu'il trouve une ferme qui avait besoin d'un ouvrier agricole. Il s'est présenté et fut accepté par le patron, il à demandé à faire un pacte qui fut lui aussi accepté.
C'était ceci
Vous me laissez travailler le temps que je veux et quand je penserai que je dois partir vous me délivrez de mes obligations. Je ne veux pas recevoir de salaire, je vous demande de placer mon argent à la banque jusqu'à mon départ définitif, ce jour là alors vous me donnez mon gain et je reprend le chemin de la maison. Pas de problèmes dit l'employeur, ça va pour moi! Le jeune homme a travaillé pendant 20 ans, sans vacances ni repos. Il arrive près de son patron et lui dit :- Voilà, le jour du départ est arrivé, je repars près de ma femme! Le fermier lui répond:- Très bien, nous avons passé un contrat et je respecte vos désirs, mais avant je vais vous faire une proposition.
Je vous donne votre dû et vous partez, ou, je vous donne 3 conseils,et donc pas d'argent et vous partez.
Si je vous donne l'argent, vous n'aurez pas mes 3 conseils, maintenant c'est à vous de choisir, réfléchissez ! Je vous donne toute la nuit pour y penser, puisque la nuit porte conseil et demain matin vous me donnerez votre réponse! Le sommeil était agité, est-ce qu'il a dormi ? Il a en tout cas bien pesé le pour et le contre et le lendemain le patron lui demande à nouveau, qu'avez-vous donc décidé ? " Patron, je veux vos conseils " Vous savez que vous n'aurez donc pas d'argent ? Oui patron, c'est décidé, je veux vos 3 conseils:
Eh bien les voici
1 - NE PRENEZ JAMAIS DE RACCOURCIS DANS VOTRE VIE. Chemins plus courts et inconnus peuvent vous coûter la vie.
2-NE SOYEZ PAS CURIEUX DE CE QUI EST MAL, parce que la curiosité peut parfois être mortelle
3- NE PRENEZ PAS DE DÉCISIONS DANS DES MOMENTS DE COLÈRE vous pourriez vous en repentir, et il serait trop tard
Après avoir donné les conseils, le patron dit au garçon, qui n'était maintenant plus si jeune:
" VOILA CES 3 PAINS, ces deux-ci vous les mangez pendant votre voyage et le troisième c'est pour manger avec votre épouse lorsque vous serez rentré chez vous.
Le premier jour de voyage il trouve sur son chemin un quidam qui le salue et lui demande :"ou allez-vous? Il répond " Je vais dans un lieu bien lointain à 20 jours de marche à pied d'ici "
Le bonhomme lui dit alors: - oh mais ce chemin est bien trop long ! Je connais un raccourci qui est dix fois plus court
Le garçon content, commence à suivre l'itinéraire donné par l'inconnu, quand il s'est rappelé du premier des conseils, et il a rebroussé chemin et repris l'autre. Il à su après que ce raccourci l'aurait mené droit dans une embuscade
Après quelques jours de voyage, et extrêmement fatigué, il trouve une auberge au bord de la route, ou il peut loger.
Il dort du sommeil du juste, quand il est réveillé par des cris horribles, il se lève d'un bond se dirige vers la porte pour aller voir ce qui se passe. Quand il allait ouvrir la porte il s'est souvenu du deuxième conseil et est retourné dans son lit et se rendormit.
Le matin en s'éveillant, l'aubergiste lui a demandé s'il n'avait rien entendu pendant la nuit, il lui à répondu par l’affirmative, et vous n'êtes pas curieux de savoir ce qui s'est passé ? Le garçon lui à répondu que non ! L'aubergiste continue:" VOUS ÊTES LE PREMIER A SORTIR VIVANT D'ICI,et oui, mon fils à des crises de folie, il crie pendant la nuit...et quand un client de l'auberge va voir ce qui se passe, il le tue et l'enterre dans le jardin" Le garçon continue son périple , anxieux d' arriver chez lui.
Depuis plusieurs jours et nuits de marche, déjà la nuit commençait à tomber, il à vu entre les arbres sa petite chaumière et la fumée qui sortait de sa cheminée, il à vite avancé et à reconnu la silhouette de son épouse, il faisait un peu noir, mais pas assez pour se rendre compte que son épouse n'était pas seule, il à un peu avancé et à vu qu'elle avait entre ses jambes un homme et qu'elle caressait ses cheveux! A voir cette scène son coeur s'est rempli de rage et d’une grande amertume et à décidé d'aller vers eux et les tuer tous les deux sans pitié.
Il a respiré à fond, pressé le pas quand il s'est souvenu du troisième conseil.
Il à alors réfléchi, décidé d'aller dormir et le lendemain il prendrait alors une décision.
Le matin la tête froide il s'est dit : Je ne vais pas tuer ma femme ni son amant
Je vais plutôt retourner chez mon patron pour qu'il me reprenne, mais avant ça, je dois dire à ma femme que je lui suis resté fidèle pendant toutes ces années.
Il s'est dirigé vers la porte et à tapé, quand l'épouse l'a reconnu, elle s'est jeté dans ses bras et l'a affectueusement embrassé, il tentait de la repousser, mais n'y arrive pas , alors les larmes aux yeux, il lui dit :- "J'étais fidèle et toi, tu m'as trahi " Étonnée de ce qu'elle vient d'entendre elle lui dit, moi, je ne t'ai jamais trahi, ou vas-tu chercher ça , je t'ai attendu ces vingt années! Et l'homme qui était avec toi hier soir et que tu caressais c'est qui alors ? Cet homme, mais c'est notre fils, j'ai découvert lorsque tu étais parti que j'étais enceinte, il à 20 ans.
Alors le mari rentre dans la maison pour faire la connaissance de son fils, ils se sont embrassés et raconter leur vie pendant que l'épouse leur préparait un bon café. Ils se sont assis à table pour partager le dernier pain. APRÈS LA PRIÈRE DE REMERCIEMENT ET AVEC DES LARMES D'ÉMOTION, elle coupe le pain et trouve à l'intérieur le salaire du mari des 20 ans de travail passées à la ferme.
Conclusion
Souvent on veut prendre des raccourcis en pensent brûler des étapes pour nous faire arriver plus vite, ce n'est pas toujours le cas
Souvent on est curieux on veut savoir des choses qui ne nous concernent pas et qui nous apporterons rien de constructif.
D'autres fois, nous agissons par impulsion par la rage ou la colère et fatalement nous le regrettons par après.
J'espère que vous comme moi, n'oublierez jamais ces trois conseils et même si parfois la vie vous donne des motifs de doute.
Cette belle histoire nous incite à avoir les bonnes attitudes en situations extrêmes.