Virilité: Caractère propre au sexe masculin ; courage, fermeté, énergie.
Mon avis c'est que tu as une drole de définition de la virilité.La virilité consiste à être dépourvu de sensibilité. Les anges sont des êtres sensés être purement virils, par exemple, parce qu'en ayant aucun corps, ils n'ont aucun sens et donc aucune sensibilité.
Virilité: Caractère propre au sexe masculin ; courage, fermeté, énergie.
Je suis un peu étonné par cette utilisation du terme virilité qui semble être choisi pour traduire (je suppose) le terme japonais du bushidoNon-pas traduire "Bushido", mais une des valeurs ou principes qu'il développe.
La dissimulation d'une chose au regard des autres n'implique pas son inexistence, donc ce n'est pas forcément un manque de sincérité, du moins de mon point de vue.Tu veux dire qu'omettre une vérité n'est pas un mensonge ? Ça dépend de l'intention, il me semble :
Non-pas traduire "Bushido", mais une des valeurs ou principes qu'il développe.
La virilité dont on parle ici est une attitude (virilité), pas une apparence masculine (virilisme). Je pense que l'erreur propre à une certaine idée d'hégémonie masculine serait plutôt qu'on réseve cette attitude aux hommes, justement, alors que les femmes en sont aussi capables (même si elle sont naturellement moins portées à l'adopter spontanément).
Tu veux dire qu'omettre une vérité n'est pas un mensonge ? Ça dépend de l'intention, il me semble :
Si c'est pour déformer une réalité, alors c'est un mensonge. Si c'est pour éviter d'embarrasser d'information inutile, c'est sincère.
Et je crois bien que le Schmilblick est résolu, du fait :
L'astuce serait de rester sincère lorsque les informations induites sont utiles à communiquer, et de faire preuve de virilité quand ces infos sont inutiles.
;-)p
Qu'en pensez-vous ?
Bon, il reste la question de l'honneur : doit-on être sincère jusqu'au déshonneur si nécessaire ?
Mais bon, c'est un sujet un peu annexe, vu le titre de la discussion.
je m'improviserai pas en biologiste amateur [...] une grande majorité des attitudes spécifiques aux sexes sont plutôt "genrées", et donc dans une grande mesure "créées" et entretenues socialement. Cependant il doit clairement exister des différences uniquement propres au sexe, ce pourquoi je dis que la question reste en suspens à mes yeux.Quand à déterminer une prépondérence de l'influence biologique sur les comportements spécifiques aux sexes, par rapport à l'influence sociale ou l'inverse. Cette question reste en suspend à mes yeux aussi. Mais pour exclure le postulat selon lequel l'influence sociale -seule- (caractère exclusif) est à l'origine des comportements spécifiques aux genres/sexes. Thèse que l'on désigne, à défaut d'autre nom, par "téorie du genre", il y a matière à consensus, à mon humble avis, pour la réfuter d'après les études scientifiques sur le sujet.
Je lui dissimule mes sentiments mais sans dissimuler mon intention de ne pas les lui exposer. Tu vois ce que je veux dire ?Tout-à-fait à présent, et nous sommes d'accord. :)
Perso du coup je ne ferai pas entrer là-dedans le concept d'"utile"... Parce que de nouveau on suit encore une certaine subjectivité pour le déterminer. Ou alors il faudrait dire "utile selon soi".En fait, je l'entendais plutôt par "utile à l'intérêt général", parce que l'intérêt général nous rend personnellement ce qu'on lui offre, sauf dans les cas d'injustice sociale, qui sont des cas particuliers.
Pour ce qui est de l'honneur, je trouve que c'est déjà en soi un concept dur à déterminer...J'entends ce terme d'honneur comme un respect de ses engagements :
Thèse que l'on désigne, à défaut d'autre nom, par "téorie du genre", il y a matière à consensus, à mon humble avis, pour la réfuter d'après les études scientifiques sur le sujet.
On pourrait développer ce sujet dans un autre fil...
En fait, je l'entendais plutôt par "utile à l'intérêt général", parce que l'intérêt général nous rend personnellement ce qu'on lui offre, sauf dans les cas d'injustice sociale, qui sont des cas particuliers.
Lorsqu'on perd son honneur, pour moi, on perd notre parole ou on échoue dans notre rôle/mission (ou pire, on la renverse).
Par exemple, un père qui joue mal son rôle de père ou qui renonce à remplir sa mission paternelle est pour moi un déshonneur.
En fait à la fraction de seconde ou vous vous dites "est-ce qu'on pourrais dire ou conclure que...." vous venez d'en perdre l'essence, vous vous éloignez automatiquement de sa signification réel.Le Bushido est en effet un code de conduite qui se contredit, de par les limites de son inspiration du zen. C'est ce que ombre en plein jour m'a appris (http://forum.webmartial.com/index.php?topic=7478.msg65500#msg65500) il y a peu.
Ensuite viens le décalage de l'époque et de l'évolution des conceptions, la sincérité par exemple dans l'esprit du bushido n'a absolument rien à voir avec les sentiments ou autre courants d'air moderne.
Si on ne peut pas dire que l'influence sociale détermine tout de façon sûre, soutenir qu'elle ne détermine rien mais est plutôt déterminée par le sexe, me parait légèrement farfelu.On est bien d'accord.
Dans notre société, c'est plutôt la norme [(que la société ne nous rende rien)], et la justice sociale qui est un cas particulier... |*-(Je trouve ce point de vue bien pessimiste. ;)
Sinon, l'intérêt général, quand c'est un problème qui concerne deux Humains ou plus, c'est pour ainsi dire inexistant la plupart du temps... :D
Si un simple échec sur un objectif que je me fixe signifie le déshonneur, et que le déshonneur ne peut m’être racheté que par la mort, alors j'en ai subi beaucoup de déshonneur dans ma vie, parce que je suis loin d'avoir tout réussi à l'heure d'aujourd'hui... :PPersonne. Mais pourquoi le déshonneur ne peut-il être "racheté" que par la mort ?
Mais qui peut se vanter de n'avoir jamais échoué au final ? ???
Mais pourquoi le déshonneur ne peut-il être "racheté" que par la mort ?