Webmartial - Forum : arts martiaux, sports de combat, mma, free fight, combat libre

Forums généraux => Martial Tube => Discussion démarrée par: hassane86 le avril 17, 2015, 12:01:55 pm

Titre: Shaolin Monk who resists KO ! Must see ! Muay Thai , Boxing , MMA h-azami
Posté par: hassane86 le avril 17, 2015, 12:01:55 pm
combat a Ne pas raté:

https://www.youtube.com/watch?v=m_dRHJNGMX8 (https://www.youtube.com/watch?v=m_dRHJNGMX8) #ninja*# :-|>--<|-:
Titre: Re : Shaolin Monk who resists KO ! Must see ! Muay Thai , Boxing , MMA h-azami
Posté par: jomtien le avril 18, 2015, 10:00:14 am
Shaolin Kung Fu Vs Muay Thai Fighter KNOCK OUT!!! (2013 Fight). (http://www.youtube.com/watch?v=NSd2W3miaOM#ws)

Voir  4mn 30 shaolin  Ce style de réaction reste pour moi une attitude imbécile :-/b
10 ou 20 ans, voire 30 ans plus tard, avec des pertes de mémoire, une dépression, des troubles du comportement, une maladie de Parkinson, maladie d’Alzheimer ou ce qu’ l’on appelle la « démence pugilistique »…  30 % des boxeurs souffriraient de démence après leur carrière*. >-(|

KO sur le ring comme à la ville
 Boxe, rugby, football américain… de nombreuses activités physiques sont concernées par le K-O, mais la commotion cérébrale ne se produit pas que sur un terrain de sport. Il suffit d’un coup à la tête ou à la mâchoire, d’un mouvement de rotation, d’accélération ou de décélération brusque de la tête pour être touché. En France, pas moins de 100 000 commotions cérébrales ont lieu chaque année mais la perte de connaissance ne survient que dans 10 % des cas*.


Les signes du KO ?
 Sur le coup, les symptômes peuvent aller du malaise bref à la perte de connaissance. Et puis, à court terme, des troubles du sommeil, des maux de tête et des troubles du comportement.


Mais même sans symptôme immédiatement grave, un K-O peut engendrer, surtout s’il se reproduit, des séquelles 10 ou 20 ans, voire 30 ans plus tard, avec des pertes de mémoire, une dépression, des troubles du comportement, une maladie de Parkinson, maladie d’Alzheimer ou ce qu’ l’on appelle la « démence pugilistique »…  30 % des boxeurs souffriraient de démence après leur carrière*.

L’après KO
 Après une commotion cérébrale, le cerveau se trouve fragilisé pendant une période difficile à évaluer. Une seule certitude : il faut absolument éviter que le cerveau ne subisse de nouvelles lésions avant disparition totale des symptômes. On recommande un repos de 2 jours minimum qui peut parfois s’étirer jusqu’à un mois complet ou plus selon les cas. Car le « syndrome du second impact » est à risque de mortalité très élevé. Mais parce que les enjeux du sport de haut niveau sont aussi financiers, certains athlètes poursuivent le match au prix de leur vie.