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Forums géographiques => Québec => Discussion démarrée par: niveau 2 le décembre 28, 2015, 01:34:30 am
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Bonjour,
Je donne des cours privés de Kung-Fu aux personnes intéressées au centre ville de Québec.
Niveau 2
Merci
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Bonjour.
quel est le système enseigné ? le nom de l'école ?
merci
Tino
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Salut Tino.
Le style que j'enseigne s'appel Liwutai, j'ai plus de 40 ans d'expérience en enseignement.
Si tu as d'autres questions gêne toi pas.
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Salut Tino
Concernant l'école où j'enseigne. Je loue à l'heure et l'école est située tout près de l'angle des rue St-Jean et Turnbull.
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bien sûr que j'ai d'autres questions.
j'ai cherché et je n'ai rien trouvé sur le Liwutai ;
c'est originaire de quel endroit ?
quelle est la généalogie de ce style ? les maîtres ?
merci
Tino
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Premièrement le Liwutai n'est pas un style traditionnel, ses racines sont le Kajukenbo, le Wun Hop Kuen Do et le Chuan Fa.
Pour avoir plus d'information va sur Google et tape kung-fu Sherbrooke l'instructeur enseigne depuis plus de 15 ans à Sherbrooke.
Concernant la généalogie du style: c'est moi qui a structuré la méthode Liwutai en 1983 d'après mon expérience dans les arts martiaux. Le Liwutai fut membre de la fédérations des arts martiaux chinois de l'Est du Canada pendant plus de quinze ans. Aujourd'hui cette fédération n'existe plus. Son président était Lorne Bernard du style de la grue blanche à Montréal et Laval. Le Liwutai est du kung-fu, avec des principes chinois dans les techniques et les formes sont traditionnelles. L'enseignement que je donne est traditionnel ains que l'entraînement. Je suis le fondateur donc le maître de ce style.
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merci des explications.
Après avoir évolué dans un monde chinois pendant très longtemps (et avoir été disciple du même maître pendant de longues années) j'ai toujours été fasciné et admiratif devant ces maîtres qui, pendant leur long cheminement, ont toujours décidé de passer leur enseignement (transmis de génération en génération) en étant fidèle à leur famille sans rien inventer (eux, qui avec leur grande expérience auraient pu inventer des supers styles).
C'est pourquoi, je suis toujours étonné d'apprendre que des occidentaux, avec la plupart du temps, beaucoup moins d'expérience, réussissent à créer leur propre méthode.
merci pour m'avoir répondu
Tino
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Bon succès dans tes recherches.
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merci des explications.
Après avoir évolué dans un monde chinois pendant très longtemps (et avoir été disciple du même maître pendant de longues années) j'ai toujours été fasciné et admiratif devant ces maîtres qui, pendant leur long cheminement, ont toujours décidé de passer leur enseignement (transmis de génération en génération) en étant fidèle à leur famille sans rien inventer (eux, qui avec leur grande expérience auraient pu inventer des supers styles).
C'est pourquoi, je suis toujours étonné d'apprendre que des occidentaux, avec la plupart du temps, beaucoup moins d'expérience, réussissent à créer leur propre méthode.
merci pour m'avoir répondu
Tino
À la fin des années 70 / début 80 les arts-martiaux au Québec ne commençaient qu'à devenir populaire. Les Grands Maîtres de styles traditionnels ne couraient pas les rues. Les grands passionnés, comme niveau 2, n'avaient probablement d'autres moyens pour apprendre que d'aller chercher toutes les informations qu'ils pouvaient à gauche et à droite en parcourant beaucoup de territoire... Dans un cas comme celui-là, ça devient difficile de s'en tenir à un seul style.
Je ne connais pas niveau 2 personnellement, je ne me permettrai donc pas de présumer que je viens de décrire son cheminement. Toutefois ça explique pourquoi, à mon avis, plusieurs occidentaux ont du créer leur propre méthode. Par nécessité plus qu'autre chose.
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En fait au Québec dans les années milieu '60 et début '70 les instructeurs dans les arts martiaux pieds-poings, avaient soit une ceinture brune, ceinture noire avec un 3e dan au maximum. Il n'y avait aucun Maître et encore moins de Grands-Maîtres.
ll eu beaucoup de frustration parmi
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Excusé pour la coupure. Erreur de tape. Poursuivons.
Il y eu beaucoup de frustrations parmi certains élèves qui pratiquaient depuis plusieurs années. Les rairons étaient en premier le contrôlle de certaines fédérations japonaises qui obligeaient d'aller passé sa ceinture noire au Japon. Il y avait aussi les tensions avec l'instructeur concernant l'argent. Certains avait un instructeur qui était limité côté techniques et principes.
En gros c'était la situation du moment. Nous étions tous des passionnés et ont voulaient continués à s'entraîner durement, que faire lorsqu'ont pair la motivation, il faut aller ailleurs.
Aujourd'hui après plus de 40 ans ceux de ce temps qui sont encore actifs il y en a deux et demi.
Voilà la courte histoire des rebelles ou des renégats, tout dépends du côté de la clôture ont se tient.
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Niveau 2 est un mine d'information sur la pratique martiale et l'évolution de la pratique au Québec. C'est une chance à ne pas manquer pour toutes personnes voulant approfondir sa pratique indépendamment du style pratiqué.