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Forums généraux => Arts martiaux / Sports de combat => Débutants => Discussion démarrée par: Karuna le octobre 17, 2009, 16:46:42 pm
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Une tite question, comme çà juste pour le fun ::)
Lors de votre premier cours, qu'est ce qui vous a le plus accroché pour vous décider à franchir le pas et vous inscrire ???
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j'étais ados et plein d'hormones.. et y avait de la muf au dojo. :-*
blague à part j'ai suivi un ami qui avait fait un an de karaté, j'ai bien accroché. puis j'ai arrêté à la FAC, je devais traverser la ville le soir pour aller au cours, ce qui a suffit à me démobiliser .
j'ai repris à 22 ans quand on déménagé à côté d'un club de karaté, l'ambiance était sympa, on bossait mais c'était convivial avec toutes tranches d'âge. :-=# #papy#
c'est ce qui m'a fait rester: le fait de venir m'entraîner mais de partager autre chose que la sueur le sang et les larmes :-)UU(-:
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Merci pour ta réponse, si la première fois la distance t'a fait arrêter, peut être n'étais tu pas assez motivé ???
Traverser la ville ... je pense que beaucoup le font ::)
Est-ce que maintenant tu ferais le trajet pour retrouver ta salle et tes partenaires ???
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la ville est plus petite :D
blague à part oui, je remonte du boulot sans passer chez moi pour aller au club... ce qui fait de moi un père et un mari indigne :-|~*-(
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Tout simplement ... ta motivation a su gérer les problèmes de déplacement qui en deviennent mineurs ;-)p
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Je fait 25 kilometres pour aller en cours de Pak Mei :-o~
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tu es plus motivé que moi il ya 20 ans. j'ai honte #cachette# restrospectivement..un problème d'EGO :D
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Mon premier cours de kendo, c'était un peu comme un rêve... Enfin manier un sabre, objet qui m'a toujours fasciné (me demandez pas pourquoi...).
C'était aussi une grande découverte des arts martiaux, et le fait qu'aucun signe de grade n'apparaisse sur les tenues de kendoka, rendant ainsi la hiérarchie non palpable, qu'anciens et nouveaux soient mêlés en cours, que n'importe quel ancien est susceptible de nous apprendre des choses, et que pour un ancien affronter un nouveau ne soit pas une corvée mais aussi une occasion d'apprendre, le tout avec le respect et la discipline, tout ceci m'a séduit.
Enfin, les blagounes pourries du prof, et l'ambiance détendue qui règne en cours, ont fini de me convaincre ! :D
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Enfin manier un sabre, objet qui m'a toujours fasciné (me demandez pas pourquoi...).
Si si ;)..... pourquoi #circonspect#
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Enfin manier un sabre, objet qui m'a toujours fasciné (me demandez pas pourquoi...).
Si si ;)..... pourquoi #circonspect#
Euh, tu comptais pas sortir ce soir ? ::) :D
En fait, ça remonte je crois à l'enfance, du moins à une seconde partie de l'enfance, c'est-à-dire pas la prime enfance mais celle qui, bien qu'encore insouciante, commence à se doter d'une part de conscience - cette part même qui est censée devenir, en se développant au moyen d'une pro-pédeutique élargie, ce que les Lumières ont défini sous le terme de Pensée, terme un brin galvaudé par notre société de consumation je vous l'accorde - conscience donc du fait que le fascination recèle une part d'inconscient, une forme d'attraction/répulsion qui rend cette ontologie assez peu appréciable par un esprit jeune, encore en formation et impressionnable : ainsi ledit esprit, ou tout du moins sa genèse enfantine, se trouva-t-il un jour en admiration devant une arme dont l'aspect affûté n'avait d'égale que l'aspiration à l'acuité d'une personnalité pas assez tranchante au regard de ladite conscience ; l'admiration devait se muer en fascination le jour (ou la nuit) où la lame devint elle-même la métaphore du caractère affûté que devait posséder l'esprit - métaphore largement alimentée par le lyrisme classique de la mythologie entourant l'histoire du sabre, des valeurs soi-disant liées à son usage, doublé du lyrisme contemporain véhiculé par le media cinématographique à travers des outils conceptuels tels que les affrontements épiques des McLeod ou des guerres galactiques des chevaliers aux épées de lumière - vous noterez, à ce stade de notre analyse, que les références pré-citées renvoient toutes au même adage qui veut que celui qui aspire à la maîtrise de la lame se doive de faire preuve de la même précision et de la même efficacité dans tous les aspects de sa vie, adage en apparence anecdotique mais qui devait avoir une réelle causalité dans le problème qui nous occupe, et dès lors on comprendra mieux que tout héros un brin sabreur devait alimenter une mythologie personnelle déjà très ancrée bien que totalement intuitive - et sans succomber aux tentacules de la déréliction (afin de demeurer clair), je me dois de préciser à ce stade que la dimension esthétique devait jouer un rôle plus que fondateur dans l'appropriation des valeurs, puisque la conscience désormais plus éveillée et batisseuse d'une proto-philosophie devait s'emballer à jamais face à l'émotion de l'art, non encore martial mais simplement global, et qu'en bon esthète alors toute représentation se devait dès lors d'être réelle et irréelle, parce que rien n'est pire que de ne rêver que la nuit (si le rêve, hors de toute conception freudienne, doit être considéré dans son acception diurne et non nocturne, quoique celle-ci ne soit pas totalement exclue) - rêve qui devait constituer le dernier ingrédient d'un cocktail déjà bien bordélique, et si qui que ce soit comprend là-dedans quoi que ce soit, qu'il appelle le 36 06 et qu'il prononce "j'ai pigé", il se produira peut-être quelque chose...
:D :D :D
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j'ai pigé #telephone#
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He Tout Fou du 88 (ou du 8 aout je sais plus :-o~) ...... faudrait arrêterlà, parce que moi, j'ai fais comme t'as dit ............ j'ai appelé le3606 ........... je leur ai raconté ton histoire ;-)p
Ils ont voulu m'envoyer des messieurs en blouse blanche :o :(
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He Tout Fou du 88
Je suis du 6-3...
(ou du 8 aout je sais plus :-o~)
Euh, ça c'est oliv0808...
Ils ont voulu m'envoyer des messieurs en blouse blanche :o :(
88 fous - comme son nom l'indique ! ;) :D
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le charisme du prof, la bonne humeur ambiante, le fait que l'art martial cartonne (selon mes critères)
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Moi je trouve l'explication de 88 fous pour sa fascination du sabre, plutôt intéressante d'un point de vue littéraire. #idee#
La lecture de son texte, même en ne le comprenant pas, nous permet de ressentir sa fascination d'enfance. Surtout dans ce passage :
ainsi ledit esprit, ou tout du moins sa genèse enfantine, se trouva-t-il un jour en admiration devant une arme dont l'aspect affûté n'avait d'égale que l'aspiration à l'acuité d'une personnalité pas assez tranchante au regard de ladite conscience ; l'admiration devait se muer en fascination le jour (ou la nuit) où la lame devint elle-même la métaphore du caractère affûté que devait posséder l'esprit - métaphore largement alimentée par le lyrisme classique de la mythologie entourant l'histoire du sabre, des valeurs soi-disant liées à son usage, doublé du lyrisme contemporain véhiculé par le media cinématographique à travers des outils conceptuels tels que les affrontements épiques des McLeod ou des guerres galactiques des chevaliers aux épées de lumière
Un point de sagesse pour cet intermède littéraire :-D=
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C'est vrai, mais c'est bien naturel: ne dit-on pas que les samurai devaient savoir manier la plume aussi bien que le sabre.
J'attends la suite de l'histoire. #tele#
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bun bu ichi , cher dieu DO
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cher dieu DO
C'est trop d'honneur que tu fais au simple plouc que je suis #jeuvideo# en revanche, je ne suis pas loin de partager ce sentiment pour le vrai !
si je peux te renvoyer la politesse, Dieu Do, la voie de(s) dieu(s) se dit : SHINTO 神道, la religion du Japon avant que le bouddhisme n'arrive, et qui a su coexister avec ce dernier. #chinois#
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sur ta photo tu est lègèrement moins sexy qu'amatératsu...mais légèrement
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Alors moi ce qui m'a poussé à m'inscrire moi ...
Déjà la fascination que j'ai depuis tout petit des arts martiaux (confère un fameux 88fous) !
Une fascination qui est naît très certainement grâce aux films d'arts martiaux et consort, comme les films des fameux Bruce Lee, Jacky Chan, Jet Li ou encore Chuck Norris (plus fort que la douleur ! #2pistolets# notamment la série Walker Texas Rangers ^^). Mon inconscient a du jouer fortement la dessus. Mais aussi l'influence de mon père qui n'avait lui jamais fait d'art martial mais il a une certaine fascination aussi pour cela étant un bagarreur (j'essaye de la calmer mais c'est difficile ... :()
Mais aussi une forte envi de savoir me défendre, l'aspect self défense a été aussi déterminant. Maintenant le Qwan Ki Do (art martial que je pratique) je le connaissait déjà un peu avant en ayant fait quelques cours auparavant dans un club qui a fermé (un club qui d'ailleur était plus proche de chez moi mais bon :(). Avant je "pratiquait" une sorte de self défense à base de Vo Co Truyen (ou Viet Vo Dao mais comme certains le savent ce n'est pas correcte de l'appeler ainsi !) mais bon il n'y avait pas de reconnaissance alors j'ai été tester le club de Qwan Ki Do (vous savez celui qui a fermé) et ca a tout de suite marché entre cette discipline formidablement riche et moi !
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De mon côté:
Mes soeurs, mon frère et un de mes beaux frères pratiquaient le judo et le karaté. J'étais petit et malingre mais très souple alors mon beau frère m'a conduit à mon premier club de Karaté (shito ryu). Je suis devenu l'élève d'un des anciens profs de mon frère.
Je devais faire 13 km en bus ou je profitais de la voiture d'un ancien du club.
Très vite on m'a dit qu'avec mon nom de famille, je devrais me faire un prénom étant donné la réputation de rude combattant qu'avait mon frère.
Alors pour toutes ces raisons et aussi parce que l'on ne m'a pas cassé la tronche à peine arrivé, que les anciens étaient heureux d'avoir un nouveau, que mon prof ne faisait jamais de compliment à la légère et parce que je m'y sentais bien, je suis resté 3 ans dans ce club jusqu'à ce que mes études m'obligent à changer de structures et de style.
Aujourd'hui, je suis toujours petit et malingre mais alors c'est dingue comme je m'en fout.
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En fait, ça remonte je crois à l'enfance, du moins à une seconde partie de l'enfance, c'est-à-dire pas la prime enfance mais celle qui, bien qu'encore insouciante, commence à se doter d'une part de conscience - cette part même qui est censée devenir, en se développant au moyen d'une pro-pédeutique élargie, ce que les Lumières ont défini sous le terme de Pensée, terme un brin galvaudé par notre société de consumation je vous l'accorde - conscience donc du fait que le fascination recèle une part d'inconscient, une forme d'attraction/répulsion qui rend cette ontologie assez peu appréciable par un esprit jeune, encore en formation et impressionnable : ainsi ledit esprit, ou tout du moins sa genèse enfantine, se trouva-t-il un jour en admiration devant une arme dont l'aspect affûté n'avait d'égale que l'aspiration à l'acuité d'une personnalité pas assez tranchante au regard de ladite conscience ; l'admiration devait se muer en fascination le jour (ou la nuit) où la lame devint elle-même la métaphore du caractère affûté que devait posséder l'esprit - métaphore largement alimentée par le lyrisme classique de la mythologie entourant l'histoire du sabre, des valeurs soi-disant liées à son usage, doublé du lyrisme contemporain véhiculé par le media cinématographique à travers des outils conceptuels tels que les affrontements épiques des McLeod ou des guerres galactiques des chevaliers aux épées de lumière - vous noterez, à ce stade de notre analyse, que les références pré-citées renvoient toutes au même adage qui veut que celui qui aspire à la maîtrise de la lame se doive de faire preuve de la même précision et de la même efficacité dans tous les aspects de sa vie, adage en apparence anecdotique mais qui devait avoir une réelle causalité dans le problème qui nous occupe, et dès lors on comprendra mieux que tout héros un brin sabreur devait alimenter une mythologie personnelle déjà très ancrée bien que totalement intuitive - et sans succomber aux tentacules de la déréliction (afin de demeurer clair), je me dois de préciser à ce stade que la dimension esthétique devait jouer un rôle plus que fondateur dans l'appropriation des valeurs, puisque la conscience désormais plus éveillée et batisseuse d'une proto-philosophie devait s'emballer à jamais face à l'émotion de l'art, non encore martial mais simplement global, et qu'en bon esthète alors toute représentation se devait dès lors d'être réelle et irréelle, parce que rien n'est pire que de ne rêver que la nuit (si le rêve, hors de toute conception freudienne, doit être considéré dans son acception diurne et non nocturne, quoique celle-ci ne soit pas totalement exclue) - rêve qui devait constituer le dernier ingrédient d'un cocktail déjà bien bordélique, et si qui que ce soit comprend là-dedans quoi que ce soit, qu'il appelle le 36 06 et qu'il prononce "j'ai pigé", il se produira peut-être quelque chose...
:D :D :D
Tout ca pour dire que t'a kiffe Highlander et Star wars ! ;)
Lex
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Ah heu moi c'est pour plusieurs raisons. Déjà il y avait une fille de mon âge et je vous dis pas O_o. (après j'ai su qu'elle venait du Sud et qu'elle participait à un échange inter-club, la deg) et aussi parce qu'on a apprit des techniques qui claquaient!
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Enfin manier un sabre, objet qui m'a toujours fasciné (me demandez pas pourquoi...).
Si si ;)..... pourquoi #circonspect#
Euh, tu comptais pas sortir ce soir ? ::) :D
BLALBLALBLA...
:D :D :D
Euh, tu fais quoi dans la vie? #circonspect#
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ses quand y ma appris la garde^^
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Une tite question, comme çà juste pour le fun ::)
Lors de votre premier cours, qu'est ce qui vous a le plus accroché pour vous décider à franchir le pas et vous inscrire ???
l ambiance
et oui j ai commencé dans un local d un club de fitness,ou le prof donnait des sceance de "body combat"...
c etait 45min de chauffe cardio,le vrai cours commencait lorsque les nanas quittere la salle,et laissere la place au application de combat et assaut etc...
FITNESS-body combat-part2-HD (http://www.dailymotion.com/video/xcaj0m)
#larmes#
maintenant je m entraine dans une salle municipale pourrie,pas de sono,meme pas chauffé,avec douche merdique,mais avec un vrai "tatami " de judo.
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J'étais petit...maigrichon...je me ramassais des raclées, j'en ai eu assez.
Ce qui m'accroche ? simple quand je travaille et que je peux «sentir» l'efficacité,quand le sifu ou sensei n'a pas peur de me laisser essayer c'est déjà un truc que j'aime, le reste c'est une question de feeling, quand je fais une technique et que je me dis «dans la rue si je fais sa j'suis mort» c'est mal parti...