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Forums par thèmes => Philosophie / Spiritualité => Discussion démarrée par: Webmestre le octobre 21, 2009, 05:59:27 am
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Je suis très partagé sur l'idée ou non de continuer le sujet "l'épée vs la plume" :
http://forum.webmartial.com/index.php?topic=893.0 (http://forum.webmartial.com/index.php?topic=893.0)
Le sujet est pour l'instant bloqué. Souhaitez-vous continuer ce sujet ou bien pensez-vous que l'on fait mieux de l'arrêter là pour éviter que ça finisse mal ? #troll#
Veuillez ici ne pas aborder ce sujet, mais simplement exprimer si oui ou non vous souhaitez continuer sur ce sujet, tout en étant conscient que c'est un sujet pouvant potentiellement provoquer des disputes. :-(@#*)-:
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Ben moi je suis plutot pour, surtout que j'ai rate ma chance de repondre :D
Plus serieusement, je suis pour car je pense qu'il est difficile de separer la plume et l'epee, tout simplement. Il n'y a que dans les jeux videos de bastons que c'est possible #jeuvideo# . Seule la force compte, mais dans la vraie vie, quand on s'interesse a l'art de la guerre, on ne peut passer sous silence et ignorer tout ce qui se passe en coulisses avant d'en arriver a sortir le sabre... ou le bombardier.
De meme, penser a se muscler et faire de soi une vraie bete, sans prendre le temps de bien reflechir a la facon dont on s'utilise, ou dont on est utilisé #idee# , c'est comme donner un sabre a un enfant.
L'exemple de star wars est parlant: parler des supers pouvoirs des Jedis et de leurs sabres, sans s'interesser a qui les utilisera et dans quels buts, c'est faire le jeu de l'Empereur. ls#dv
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un point de sagesse pour dieudonne pour ton dernier message #adjuge#
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Tout à fait d'accord sur ce point, la plume et l'épée sont inséparables dans la politique ou l'art de la guerre, et sont donc deux choses que l'on ne peut pas comparer. J'espère que ça va mettre tout le monde d'accord. #calin#
Donc, je ne vois pas trop l'intérêt de continuer cette discussion ;)
A moins de renommer la discussion "Importance de l'écrit pour les samouraïs". On reviendrait au sujet initial, sans polémiques. :-)UU(-: Qu'en pensez-vous ? ???
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Donc, je ne vois pas trop l'intérêt de continuer cette discussion
:D :-D= ;-)p Tres fort le big boss, je vois que toi aussi, tu manies bien la plume! + 1 !
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je ne vois pas l'intérêt d'aborder le sujet sous l'angle VS.
les deux étant complémentaires, une guerre se commence par la subversion et se finit par la négociation, donc par un usage du verbe et de l'écrit
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Le sujet est réouvert, et a été renommé "Importance de l'écrit pour les samouraïs", et il continue ici :
http://forum.webmartial.com/index.php?topic=893.msg4797#msg4797 (http://forum.webmartial.com/index.php?topic=893.msg4797#msg4797)
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j'ai dépalcé et développé mon exte dans le sujet adéquat.
et je me blâme pour ce mauvais postage :-|~*-(
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"Evitez de lancer une attaque frontale contre une position établie depuis longtemps ; cherchez au contraire à la tourner par un mouvement de flanc, de telle manière qu'un côté plus vulnérable soit exposé au choc ». L’on pourrait placer cette édifiante formule dans la bouche d’un senseï de judo ou d’aïkido. Il n’en est rien, la phrase est de Basil H. Lidell Hart*, le grand théoricien britannique du XX° siècle, infatigable promoteur de l’approche indirecte. A l’instar de Morihei Ueshiba et de ses disciples, le stratège ne préconise pas un coup direct sur la position stable d’une armée déployée ou d’un adversaire solidement campé sur ses pieds, mais une manœuvre visant à rechercher la rupture d’équilibre qui conduira à la chute.
Une autre analogie flagrante rapproche les disciplines martiales fondées sur la recherche du déséquilibre et la technique de la guérilla, également désignée sous le vocable de « guerre asymétrique ». Sun Tsu**, le génie antique de la stratégie asiatique, en élabore les fondements, qui serviront de modèle à son lointain compatriote, Mao Tsé-Tung, mais aussi aux mouvements insurrectionnels de la résistance française, cubaine ou vietnamienne. Que nous enseignent-ils ? Qu’il convient d’adopter une méthode de repli lorsque l’ennemi détient une force supérieure, de sorte à diluer les effets de sa puissance, notamment en l’incitant à disperser ses forces. Une fois celles-ci amoindries, tel le judoka ou l’aïkidoka, l’adepte de la guérilla table sur l’impatience de son adversaire, poussé à porter un coup décisif mal assuré sur ses arrières, pour retourner la situation à son avantage. Il fait alors appel à des notions de tactique élémentaire afin de déterminer le point faible du dispositif adverse pour y concentrer ses moyens. Ainsi Alexandre à Gaugamèles, ou Bonaparte à de nombreuses reprises, agissent, à la mesure de leurs moyens très supérieurs, de la même manière que Miyamoto Musashi*** lors de son célèbre duel à Ichijoji. Alexandre et ses redoutables « hétaires », par une manœuvre de flanc, étendent les formations du perse Darius, avant de faire volte-face puis de lancer une contre-offensive fulgurante sur le centre tenu par le souverain mésopotamien, maillon-clé du front qui se disloque devant l’assaut. Musashi procède de même en se plaçant en embuscade face aux disciples, supérieurs en nombre, de la maison Yoshioka, avant de déchaîner toute sa force sur leur jeune seigneur, parvenant à vaincre lui aussi." #fuite#
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http://forum.webmartial.com/index.php?topic=893.0 (http://forum.webmartial.com/index.php?topic=893.0)
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