C'est hors sujet ici, mais le règne du microscopique (bactéries, virus et ce qui se situent entre ces deux extrêmes) intervient dans bon nombre d'interactions du vivant. Sans lui c'est l'absence de vie. Le monde microscopique EST une majeure partie de nos humeurs, nos peurs, nos affinités, notre instinct, tout ça... On dit "moi, je" pensant que ce "je" c'est bien "je" avec son nom, son histoire et sa mort, mais c'est davantage ce monde grouillant dont notre petit moi n'est alors qu'une excroissance.
Nous ne sommes jamais seulement nous-mêmes, mais l'interactions de ces milliers d'êtres en nous et autour de nous... il en va de même sur une échelle plus grande, au niveau macroscopique, dépassant même ce que l'on qualifie de vivant ou d'inanimé.