Auteur Sujet: tout les bienfaits du K-O  (Lu 25320 fois)

Hors ligne psyco_mantis

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tout les bienfaits du K-O
« le: mars 25, 2011, 17:24:13 pm »
Le knockout (KO, de l'anglais to knock out, « faire sortir en frappant ») est le terme signifiant, dans les sports de combat, la mise hors de combat d'un combattant suite à un coup porté par son adversaire et lui faisant perdre temporairement ses capacités (la personne est dite « sonnée »). Cela peut être une perte de conscience temporaire, mais peut simplement découler de la douleur et de la fatigue.

Le combat est alors arrêté par l'arbitre car la personne se retrouve dans un état où elle est incapable de reprendre le combat et est complètement incapable de se défendre. En boxe anglaise par exemple, le KO est prononcé par l'arbitre lorsqu'un des boxeurs reste à terre après un coup adverse plus de 10 secondes. C'est une des conditions de victoire possible, on parle alors de « victoire par KO ».

Le KO technique ou TKO (pour « technical knockout ») est décidé par l'arbitre quand un des adversaires est blessé et est incapable de continuer le combat ou quand il décide d'abandonner le combat pour une raison quelconque.

Le knockdown est le terme utilisé lorsqu'un pratiquant est mis à terre par un coup mais se relève dans les 10 secondes (dans les règles de la boxe ou des boxes pieds-poings par exemple).

Un KO est un événement grave sur le plan de la santé du combattant et ne doit pas être pris à la légère.

Ainsi, les règlements imposent une présence médicale au bord du ring pour intervenir rapidement en cas de KO et ils imposent des délais avant que la victime d'un KO ne puisse combattre à nouveau. Un boxeur doit par exemple respecter un repos de 28 jours après un KO. D'ailleurs plusieurs KO consécutifs peuvent entraîner une interdiction de combattre. Ce repos permet au cerveau de se remettre de la commotion qu'il a reçu. Un pratiquant qui remonterait sur le ring prématurément mettrait sa vie en danger en cas de nouveau traumatisme cérébral.

Les fédérations des différents sports de combat ont également instauré des limites d'âge pour l'accès à la compétition sans casque et avec KO. La présentation d'un certificat médical de non contre-indication est également obligatoire.
Les différents types de KO[modifier]

D'un point de vue médical, il existe plusieurs types de KO : le KO cérébral, le plus fréquent, le KO vasculaire, le KO neurovégétatif, musculaire, le KO suite à un coup au foie ou au plexus solaire, le KO par épuisement.

KO cérébral

Il s'agit d'un choc sur la tête.


La plupart des KO proviennent d'un coup à la tête, à la mâchoire ou aux tempes, et résultent d'un traumatisme crânien.

Sur le plan biomécanique, ce choc, plus ou moins violent, entraîne un brusque mouvement de la tête. Ce mouvement est particulièrement important dans un choc au menton qui entraîne une vive rotation cervicale et un important mouvement du reste de la tête.

Ce déplacement de la tête entraîne un déplacement du cerveau à l'intérieur de la boîte crânienne (le cerveau flotte à l'intérieur). Le cerveau peut alors heurter, plus ou moins violemment, la table interne de la voûte crânienne.

On retrouve les mêmes effets dans un engin aérospatial (fusée, avion de chasse) lors d'une accélération brutale, souvent au décollage, une personne non entraînée tombe dans le coma.

Ce choc peut donc entraîner une commotion cérébrale, avec perte de la lucidité, trouble de l'équilibre, de l'audition, de la vue, voir perte de connaissance plus ou moins importante (de la simple absence jusqu'au coma).

Ces traumatismes peuvent n'entraîner aucune conséquence aigüe, mais peuvent laisser des séquelles neurologiques à long terme, surtout s'ils sont répétés. Certains pensent que la forme précoce de la maladie de Parkinson dont est atteint le boxeur Mohamed Ali serait due aux coups qu'il aurait reçus pendant sa carrière.

KO vasculaire

Il s'agit d'un choc au niveau d'une artère.

    * Le choc porte sur une artère (telle la carotide), de ce fait le sang n'irrigue plus (ou beaucoup moins) le cerveau. Ceci peut provoquer une perte de conscience ou une paralysie partielle.
    * Le choc décolle une plaque de cholestérol, celle-ci va être entraînée par le sang et finir par provoquer un accident vasculaire cérébral.

KO neurovégétatif

Il s'agit d'un choc impactant le système nerveux.

Le choc provoque un impact sur les nerfs et le système nerveux, ce dernier n'ayant pas l'habitude d'être autant stimulé et aussi rapidement provoque un « court-circuitage » (malaise vagal) et c'est le KO. Exemple : un mae geri porté au niveau du plexus.
KO musculaire[modifier]

Le coup porté provoque une paralysie musculaire. Exemple : un coup porté au niveau de la cuisse, ou au niveau du triceps.
(source: wiki)


La notion de traumatisme crânien ou traumatisme crânio-cérébral (TCC) couvre les traumatismes du neurocrâne (partie haute du crâne contenant le cerveau) et du cerveau.

Les manifestations cliniques dépendent de l'importance de l'impact et des facteurs associés (âge, pathologies préexistantes autres, traumatismes associés). De par la situation anatomique de la tête, le traumatisme crânien est souvent associé à des traumatismes du rachis cervical (entorses, luxations, fractures), du visage (contusions, plaies, fractures maxillo-faciales) et oculaires.

Les séquelles immédiates et à distance des traumatismes cranio-cérébraux sont souvent la conséquence des lésions engendrées sur le système nerveux central (cerveau et moelle épinière cervicale). Elles grèvent l'avenir des victimes et de leurs familles et leur coût social et financier est élevé.

Sur le plan clinique il existe trois catégories principales de traumatismes crâniens : légers (sans perte de connaissance et sans fracture de crâne), moyens (avec une perte de connaissance initiale excédant quelques minutes ou avec fractures de crâne) et graves (avec coma d'emblée — sans ou avec fractures de crâne associées).

D'importants progrès ont été réalisés dans la prise en charge médicale rapide des victimes et dans le diagnostic rapide et précis des lésions qui peuvent bénéficier d'un traitement chirurgical. Malgré ces progrès, plus de 50 % des cas graves décèdent ou gardent un handicap à vie. Le pronostic est ainsi le plus souvent lié à l'importance des signes et lésions initiales

Les traumatismes crâniens sont la principale cause de mortalité et de handicap sévère avant 45 ans. Les causes principales sont : les accidents de la voie publique (environ 50 %), les accidents sportifs, les accidents de travail, les accidents domestiques, les agressions.

Les différents types de traumatismes
La commotion cérébrale

Il s'agit d'un ébranlement du cerveau consécutif à une chute ou à un coup sur le crâne, accompagné ou non d’une perte de connaissance temporaire ou initiale. Il s'agit d'un dysfonctionnement temporaire de la substance réticulée ascendante (SRA) située dans la profondeur du cerveau et qui est responsable du maintien de l'état d'éveil. C'est la conséquence de la propagation concentrique et de la concentration des ondes de choc vers le centre du cerveau (phénomènes stéréotaxiques)[2].

C'est le tableau le plus banal et il n'y a pas de lésion visible radiologiquement dans le cerveau. Le traumatisme crânien a provoqué une perte de connaissance immédiate. Le patient est « assommé ». Le réveil survient spontanément quelques secondes - minutes - heures après le traumatisme en fonction de l'importance du choc. Il existe parfois des troubles transitoires de la mémoire récente de fixation. Une surveillance médicale ou neurochirurgicale s'impose pour dépister les possibles complications secondaires : hématome extra-dural, hématome sous-dural, œdème cérébral.

Une perte de connaissance ou une commotion légère isolée restent souvent sans conséquences. Elles peuvent entraîner un syndrome post-commotionnel. Les commotions répétées peuvent cependant favoriser la survenue des maladies neuro-dégénératives graves comme la maladie de Parkinson ou la maladie d'Alzheimer même plusieurs décennies après.

La contusion cérébrale

Dans ce cas, il existe des lésions anatomiques du cerveau (nécrose hémorragique avec œdème), pas nécessairement au niveau de l'impact.

L'œdème cérébral est une complication fréquente des traumatismes crâniens (sauf commotions cérébrales). Ces lésions cérébrales provoquent des signes de localisation déficitaires neurologiques : diminution de la force musculaire ou de la sensibilité d'un membre, asymétrie des réflexes ostéotendineux, signe de Babinski, aphasie, etc.

Ces troubles régressent sous traitement médical. On utilise des diurétiques pour diminuer l'œdème cérébral, et du mannitol, qui permet de déshydrater le tissu cérébral. Parfois, l'œdème cérébral est assez important pour provoquer un début d'engagement cérébral (engagement de la partie basse du cerveau sous la faux du cerveau vers l'hémisphère cérébral controlatéral, engagement de la partie inférieure du cerveau dans le trou occipital). Une hémorragie méningée peut être associée à une contusion cérébrale, et se traduit par des maux de tête, une raideur de nuque et des troubles de la conscience.

Le coma profond d'emblée

C'est une commotion de gravité maximale. Le patient présente un coma profond et persistant après le choc car le dysfonctionnement de la substance réticulée ascendante est plus profond. Des signes de décérébration sont possibles témoignant de la présence de lésions mésencéphanliques et axonales diffuses liés à la propagation concentrique et à la concentration des ondes de choc vers le centre du cerveau (phénomènes stéréotaxiques).

Le scanner est pratiqué d'urgence à la recherche de lésions curables chirurgicalement. S'il existe un hématome opérable, l'intervention est réalisée immédiatement. Dans le cas contraire, un traitement médical de réanimation est entrepris en milieu spécialisé (anti-œdémateux, réanimation respiratoire etc.) et débute une surveillance clinique et radiologique de l'évolution. En cas d'aggravation secondaire, des nouveaux examens radiologiques rechercheront en particulier des lésions survenues secondairement et qui pourraient bénéficier d'une intervention chirurgicale (hématome extradural, hématome sous-dural, hydrocéphalie)

Le pronostic dépend de l'importance de lésions initiales, de l'âge et de l'état général du patient avant l'accident. Plus le coma est superficiel et le patient jeune et en bonne santé avant l'accident, plus les chances de guérison sont grandes. Il peut entraîner une mort cérébrale.

Séquelles des traumatismes crâniens
Déficits neurologiques

Ceux-ci dépendent fortement de la localisation du traumatisme. Un bilan adéquat vérifiera, après la reprise de conscience :

    * des signes plégiques ou paralytiques
    * des troubles de l'équilibre
    * des troubles symboliques, type aphasiques ou agnosiques
    * des signes de lésions des nerfs crâniens

Troubles psychiques

L'aspect psychologique du traumatisme crânien se traduit régulièrement par des angoisses lorsque le patient prend conscience de séquelles potentiellement irrémédiables. Ces peurs peuvent amplifier les troubles. Certaines affections psychologiques ne sont pas rares à la suite d'un traumatisme, même mineur. Parmi des symptômes fréquemment rencontrés, des troubles du système nerveux sympathique entraînant par exemple des bouffées de chaleur, des difficultés de concentration, une fatigabilité voire une détérioration intellectuelle, des troubles du sommeil et du contrôle émotionnel. Dans certains cas, on parle volontiers de névrose post-traumatique.
Autres conséquences possibles

Environ 1% des traumatismes crâniens entraîne des épilepsies post-traumatiques ultérieures. Jusqu'à 2% entraînent des troubles vasculaires tels que des ruptures d'anévrismes ou des thromboses d'artères à destination cérébrale.
(source: wiki)

Une contusion ou ecchymose est une sorte de traumatisme, généralement causé par un impact, dans lequel les capillaires sont endommagés, permettant au sang de se diffuser dans les tissus avoisinants. De nature en général mineure mais douloureuse, les ecchymoses peuvent être légères, entraînant un hématome, ou peuvent être associées à des traumatismes graves, parmi lesquels les fractures et les hémorragies internes. Une contusion est plus couramment appelée "un bleu".

Ecchymoses légères

Quand c'est un tissu tendre qui est touché, les conséquences sont variées. Elles peuvent dépendre de l'état du tissu (un muscle tendu ne réagira pas de la même manière qu'un muscle relâché), ou de ce qui l'entoure (s'il y a un os en dessous, par exemple). La solidité des capillaires change également de personne en personne : certains se font des bleus plus facilement que d'autres.

Lors du coup, la victime ressent normalement une douleur, bien qu'elle ne soit pas forcément aigüe, et peut même ne pas être remarquée du tout. La chair devient rapidement rouge, sensible et enflée (cela peut dépendre de l'intensité du coup). Des coups répétés vont évidemment aggraver la contusion. Au cours du jour suivant, du sang s'infiltrera dans les tissus avoisinants pendant que les capillaires se réparent. L'ecchymose s'assombrit ensuite petit à petit. Au cours de la semaine qui suit (deux semaines au pire), elle prendra une couleur rouge fade, puis elle pâlira vers le violet, le noir ou le bleu, avant de tourner au jaune et de disparaître entièrement. Les couleurs vives d'une ecchymose sont dues aux produits résultant de la dégradation de l'hémoglobine : la biliverdine (pigment vert) et la bilirubine (pigment rouge paraissant jaune); les couleurs sombres proviennent de l’hémosidérine. Un bleu normal, léger, guérit en une à deux semaines. Une contusion plus sérieuse peut prendre plus de temps.

Le traitement des contusions légères est minimal. S'il y a gonflement, l'application de glace ou l'élévation de la zone touchée peut aider à le réduire. Afin d'assurer une guérison rapide, il est essentiel de ne pas se recogner dans la zone touchée: ainsi, toute agitation est à éviter, et la douleur de l'ecchymose devrait le rappeler à sa victime. Il n'est pas recommandé de masser la zone touchée.

Ecchymoses graves

Si la contusion est plus sérieuse, des complications peuvent survenir. Un excès de fluide peut s'accumuler et former une bosse dure appelée hématome. L'enflure peut également être considérable, et la douleur peut devenir problématique. S'il y a un saignement interne trop important, un syndrome du compartiment peut se produire et provoquer une interruption du flux sanguin; dans ce cas, une intervention chirurgicale est nécessaire.

Les impacts causant des contusions peuvent aussi causer d'autres dommages : des coups au torse peuvent endommager des organes internes, et des coups à la tête peuvent être très dangereux. Des coups similaires peuvent causer fractures et entorses. Les symptômes de telles blessures peuvent apparaître comme étant ceux de simples contusions; il est recommandé d'aller voir un médecin s'il y a une quelconque possibilité de blessure plus grave (repérable, par exemple, à une difficulté de déplacement d'un membre, à des contusions de l'abdomen, ou à une sensation de liquide sous la peau).

Pour traiter ces contusions plus sérieuses, on peut élever la zone touchée ou utiliser de la glace, des analgésiques (tout particulièrement des AINS), ou un bandage compressif. Masser une telle contusion ne fera qu'empirer la situation. Plus tard, au cours de la guérison, des étirements légers pourront être de circonstance, mais il est incontestablement plus sensé de consulter un docteur ou un kinésithérapeute concernant une guérison à long terme. Si un muscle est utilisé trop tôt au cours de la guérison, du tissu osseux peut s'y former, provoquant une rigidité et une douleur permanentes. Les contusions les plus sérieuses ont besoin de beaucoup plus de temps pour guérir.
(source:wiki)


dès que j'en trouve plus je vous poste ça
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tout les bienfaits du K-O
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Re : tout les bienfaits du K-O
« Réponse #1 le: mars 25, 2011, 17:30:15 pm »
Ou veux-tu en venir?

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Re : tout les bienfaits du K-O
« Réponse #2 le: mars 25, 2011, 17:34:46 pm »
c'est de l'information vérifiable   :)
pour tout ceux qui pense qu'il y a des bienfait dans le K-O
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Re : tout les bienfaits du K-O
« Réponse #3 le: mars 25, 2011, 18:23:37 pm »
Ainsi, les règlements imposent une présence médicale au bord du ring pour intervenir rapidement en cas de KO et ils imposent des délais avant que la victime d'un KO ne puisse combattre à nouveau. Un boxeur doit par exemple respecter un repos de 28 jours après un KO. D'ailleurs plusieurs KO consécutifs peuvent entraîner une interdiction de combattre. Ce repos permet au cerveau de se remettre de la commotion qu'il a reçu. Un pratiquant qui remonterait sur le ring prématurément mettrait sa vie en danger en cas de nouveau traumatisme cérébral.

Les fédérations des différents sports de combat ont également instauré des limites d'âge pour l'accès à la compétition sans casque et avec KO. La présentation d'un certificat médical de non contre-indication est également obligatoire

Donc la entre autre, caché dans la masse d'infos, tu viens de nous dire que les fédérations font attention a leurs pratiquants de sport de plein contact....
Merci de cette info super importante, qui nous fait dire que finalement les fédés préfère faire attention a leurs pratiquant plutôt que d'interdire les sports de pleins contacts et ainsi laisser libre cours a des combats de fond de garage.
Tu viens la, par ces quelques phrases, balayé tous mes fantasmes comme quoi les fédé préfère les gros bourrin sans cervelles, mais non puisque elle font attention a leurs pratiquant......

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Re : tout les bienfaits du K-O
« Réponse #4 le: mars 25, 2011, 18:39:31 pm »
ce sujet étais juste pour la boxe anglaise, pour le reste je ne sais pas  ???
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Re : tout les bienfaits du K-O
« Réponse #5 le: mars 25, 2011, 18:56:51 pm »
Waouh merci pour ces infos  ;-)p  c'est vrai qu'on est tellement con qu'on ne connait pas les conséquences d'un KO et puis vu qu'on est pas malin, on ne sait pas faire une recherche sur wikipedia et google non plus ... mais heureusement que tu es là pour arranger tout ça  ::)



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Re : tout les bienfaits du K-O
« Réponse #6 le: mars 25, 2011, 20:19:33 pm »
Est-ce que quelqu'un ici a vraiment prétendu que les KO étaient bons pour la santé?  :-[

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Re : tout les bienfaits du K-O
« Réponse #7 le: mars 25, 2011, 20:31:38 pm »
+ 1  ;-)p pour ce texte d'information. J'ai approndi ma connaissance des KO  :-=##=-:. Je préfère cette méthode par contre :  @-D  #yinyang#

 


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