Forums par thèmes > Littérature
Quel livre sur votre table de chevet en ce moment ? -
lsd:
pour lsd c'est :
Karate d’Okinawa: les sources du Fujian » par Lionel Lebigot #lecture# et vous ???
Kenshin:
Il y en a plusieurs :
Lao-Tzeu, La Voie et sa vertu, texte de François Houang et Pierre Leyris, Éditions du Seuil
Assimil, Le japonais sans peine.
40 leçons pour parler japonais, collection langues pour tous, Pocket.
Henshall, Kenneth G., A guide to remembering japanese characters, Turttle Language Library.
Habersetzer, Roland, Karaté kata. Les 30 katas du Shotokan, éditions Amphora. (Pour réviser les katas.)
Furutani, Dale, La trilogie de Matsuyama Kaze, Éditions 10/18. Je recommande fortement ces romans de Furutani !
Bref, un programme «taoiste japonais» à fond ! #mdr5#
Paix à tous,
Noom:
Merci pour ce post, j'ai maintenant de nouvelles idées de lecture !
--- Citation de: Kenshin le juin 15, 2013, 02:30:14 am ---Furutani, Dale, La trilogie de Matsuyama Kaze, Éditions 10/18. Je recommande fortement ces romans de Furutani !
--- Fin de citation ---
Celui-ci et
--- Citation de: lsd le juin 15, 2013, 01:37:34 am ---Karate d’Okinawa: les sources du Fujian » par Lionel Lebigot #lecture#
--- Fin de citation ---
Celui-ci ! ;-)p
Pour ma part j'ai un livre qui ne quitte jamais vraiment ma table de chevet : "Traité des 5 Roues" (ou "Gorin-no-sho" en japonais) de Miyamoto Musashi. Et un petit recueil de haikus "L'hôte, l'invité et le chrysanthème blanc : haikus d'automne".
dom.:
neurocombat.
L'intégrale de Chuang tseu.
jomtien:
Bangkok,la nuit
Florence Compain
Cyril Payen
Ce livre est une déambulation dans Bangkok la nuit, où l'on prend le temps de l'explorer, recoin par recoin, dans la solitude comme dans la fourmilière humaine.
De la sueur et du sang du stade Lumpini où se livrent les combats de boxe thaïe au fleuve Chao Phraya dont s'échappent de gigantesques serpents les nuits de mousson, la ville dévoile ses secrets, ses lieux et ses personnages emblématiques.
Loin, très loin des clichés, et avec une richesse de détails et de sensations qui donnent à ces chroniques la densité narrative d'un roman.
Les nuits de Bangkok sont paradoxales. Elles ne sont pas l'envers du jour, mais plutôt des journées en monochrome. Seule la population change, un deuxième monde, celui de l'obscurité, se met en branle lorsque le soleil disparaît vers l'ouest.
Avec son agitation, sa fièvre, ses métiers, ses excès, ses folies, ses instants sublimes jaillissant des ténèbres... Ce livre est une déambulation dans Bangkok la nuit, où l'on prend le temps de l'explorer, recoin par recoin, dans la solitude comme dans la fourmilière humaine.
Navigation
[#] Page suivante
Utiliser la version classique