NAMASTE,
Pour ce qui est du combat, nous ne sommes pas tous logés à la même enseigne!
Déjà, le combat n'intéresse qu'une frange des pratiquants ... car si même dans les styles durs tout le monde aime bien "fighter" se retrouver face à un inconnu (quel que soit son niveau) est une autre histoire.
Donc mis à part la gestion du stress qui est un paramètre personnel, la connaissance de ses propres capacités physiques est la première des choses ....ne jamais croire que l'on pourra abréger l'échange ... donc il faut se préparer un physique bien plus important de ce que l'on pense.
Ensuite le niveau technique n'est pas la priorité! Ce qui est nécessaire,c' est de bien se sentir dans les quelques techniques que l'on maitrise.
Dans tout les cas l'instructeur à un rôle important ... non pas en poussant ses élèves "à la boucherie" mais en les canalisant dans leurs ardeurs .... c'est à lui de préparer ses compétiteurs pour en faire des combattants à l'aise pour le niveau de la compétition à venir.
Il nous est arrivé de présenter des combattants en fin de première année de pratique, mais de nombreux spectateurs de "préparations" nous auraient pris pour des fous ou des inconscients! Le niveau des entrainements doit être très supérieur à celui de la compète à venir. A chaque entrainements l'on doit dépasser les limites du futur combattant (il est courant d'aller se refaire une petite santé aux toilettes de temps en temps
)
Sans ce genre d'épreuves lors de la préparation .... mieux vaut reporter sa montée sur le tatamis à plus tard.
La règle d'or étant que l'on doit toujours représenter son style dignement lorsque l'on monte sue le tatamis!