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Un implant -vivant- pour régénérer le cartilage Prothese de Genou

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jomtien:
Jai lu évidement avec Attention Ayant une Prothèse de Genoux et de Prothèse total Hanche Affaire a Suivre Certainement Avenir mais je Rester sceptique : douter d'une chose OU dans 20 ans ce serrât Possible !



Pour parvenir à réparer le cartilage d’une articulation en cas de lésion ou de dégénérescence, des chercheurs spécialisés en nanomédecine régénérative, travaillant au sein de l’Université de Strasbourg et des hôpitaux universitaires de Strasbourg sous la direction de Nadia Benkirane-Jessel, ont développé une nouvelle approche d’implant ostéo-articulaire.

Actuellement, la stratégie de reconstruction du cartilage (en dehors de la pose d’une prothèse)
 Consiste à injecter dans l’articulation du patient un échantillon de ses propres cellules de cartilage (chondrocytes). Mais le résultat est souvent décevant car la régénération a alors lieu sur un os lésé. "Il faut donc s’attaquer en parallèle à la réparation des deux couches : l’os et le cartilage", souligne Nadia Jessel-Benkirane, coauteur des travaux avec Laetitia Keller.

Pour y parvenir, ces chercheurs ont créé un implant composé de deux compartiments : le premier est une membrane nanofibreuse, à base de collagène ou de polymères, dotée de nanoréservoirs de facteurs de croissance osseux, pour favoriser la réparation de l’os.
 Le second est une couche d’hydrogel (alginate) renfermant de l’acide hyaluronique et des cellules souches dérivées de la moelle osseuse du patient, favorisant la régénération du cartilage.

L’organisation en trois dimensions du dispositif favorise la croissance et la différenciation des cellules souches en cellules du cartilage. "L’objectif est d’obtenir une régénération totale de l’articulation -os sous-chondral et cartilage- dans les mois qui suivent", explique la chercheuse.

L’implant a été testé dans différents modèles animaux, en utilisant cette membrane active innovante ou une membrane de collagène d’origine animale.

 Cette dernière semble "moins sûre et moins efficace car elle est d’épaisseur unique. L’épaisseur de la membrane polymérique peut quant à elle être modifiée selon les besoins", précise Nadia Jessel-Benkirane. Les premiers essais cliniques sur 62 patients devraient commencer en 2020...

Article rédigé par Georges Simmonds pour RT Flash

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