George Tsen, un passionné de taï-chi-chuan

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Interview de George Tsen, un passionné de taï-chi-chuan, à la MJC de Douai

Dérivé des arts martiaux, le taï-chi-chuan est souvent pratiqué pour des raisons de santé et de longévité. En Asie, il n’est pas rare de voir des personnes âgées faire de lents mouvements dans les parcs publics. À la MJC de Douai, c’est en salle.

La MJC a tenu son assemblée générale dont George Tsen est un bénévole. Il est conseiller technique dans cet art martial qu’est le taï- chi-chuan, depuis 20 ans,

Quel est votre parcours ?

Je suis Chinois. Ma famille est originaire de la province de Canton, située au sud de la Chine. Dès l’âge de 13 ans, je me suis intéressé aux arts martiaux. En octobre 1996, j’ai fait la connaissance de Maître Men Hui Feng, au cours d’un stage, à Douai ? C’est un expert chinois en taï-chi, créateur du style dongyue taÏji. Depuis ce jour, je suis son enseignement. J’ai débuté à la MJC Espace Hélios, en 1997. Je suis conseiller technique d’un groupe de sept animateurs, bénévoles également, qui ont aussi rencontré Maître Men. Pour ma part, je suis responsable du Dongyue TaÏji et de la forme 42 Epée.

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