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Frappes avec recul.
jumplex:
En hung gar on utilise beaucoup de double mouvements pour créer un contrepoids et une contre poussée. Le Front kick aussi était fait avec une inclinaison plus prononcée que ce qu'on voit en karaté par exemple. Le fait que les anneaux en métal portés sur les avants bras fassent partie de l'esthétique du style rend la mécanique plus flagrante pour les pratiquants débutants, c'est nice pour ça. Au début je trouvais ça superflu mais en pratique ça change beaucoup la gestion de l'énergie ( le cliché loi newtonienne de "une force dans appliquée dans une direction etc...)
Sinon pour les élans je suis ignorant de techniques où c'est pratique. En hung gar les mouvements longs enchaînés donnent cet effet là, mais c'est jamais initié à partir d'une position statique, je crois.
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En Wing Chun il y a notre lap da.
niveau 2:
Dans ces genres de frappes on peu avancer d'un demi pas ou un pas complet et lorsque l'on frappe on arrête notre élan et on fait un léger recul du haut du corps en étant bien solide sur nos jambes.
La fin du recul arrive en même temps que le contact de la frappe du poing ou de la main.
Nous utilisons des forces opposées. Moi je l'appel la force contraire.
Sur place c'est le même principe.
Cette frappe se fait fouetter ou pénétrante.
Caimán:
La boxe anglaise utilize le recul pendant des coupes de main pour changer la distance pour frapper directs, pouvoir visualiser à l'opposant et arrêter une attaque frontale.
Quand tu es trop près de l'autre tu ne peux pas frapper avec assez de puissance mais si vous reculez votre jambe, hanche et épaules génèrent de la force.
jomtien:
Boxe Anglaise
BOXER EN RECULANT
Habileté* indispensable pour un compétiteur au même titre que savoir « boxer en avançant » et « boxer en tournant ». Contrairement à ce qu’on pourrait penser, ce n’est pas celui qui recule qui perd le match (il faut rappeler qu’un match se gagne à l’efficacité des touches). Certains boxeurs possèdent cette aptitude qui pour eux est une seconde nature et souvent leur « façon de faire personnelle ».
Pour d’autres, de longs apprentissages seront nécessaires afin d’acquérir cette habileté*.
Ne pas savoir boxer en reculant peut être un handicap face à des fonceurs qui mettent systématiquement leurs adversaires « sur le reculoir* ».
Cette façon de faire particulière d’athlète utilisant la « boxe en avancée » adverse permet à un boxeur longiligne* de rester à grande distance et d’assurer le maximum de touches avec le minimum de risques. Notamment face à un adversaire recherchant la confrontation rapprochée.
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