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Reprendre à 40 ans
meiyo:
J'ai un bon contact avec les profs, rencontrés lors d'une journée des associations. Je leur ai précisé que je tenais aux applications martiales et il m'a été assuré qu'elles étaient enseignées parallèlement aux aspects internes de la disciplines.
meiyo:
Je me permets de faire remonter ce vieux sujet pour l'actualiser plutôt que d'en lancer un autre.
J'étais fermement décidé à faire des cours d'essai en mars et là … pandémie ! La réouverture des salles d'arts martiaux est encore incertaine mais quoi qu'il en soit je vais devoir attendre la rentrée prochaine pour m'y remettre.
Ma kiné m'a fortement déconseillé de faire une discipline "dure" physiquement et me recommande plutôt le tai chi chuan ou une forme de gymnastique douce (j'ai oublié le nom exact). J'essaierai pour me faire une idée mais je ressens en parallèle le besoin de transpirer d'autant que j'ai une dizaine de kilos à perdre. Je déteste courir et la piscine me rend assez parano à cause de la pandémie.
Il y a aussi le fait que je me bloque souvent une vertèbre par un faux mouvement. Des avis ?
meiyo:
Mise à jour.
A la rentrée je me suis finalement décidé pour le Nihon Tai Jitsu, en partie sur les conseils de mon ancien instructeur d'hapkido, pour qui c'était l'une des disciplines les plus proches de la discipline précitée. Je rappelle avoir dû arrêter l'hapkido principalement parce qu'il n'y avait aucun club l'enseignant à Rouen ou à proximité. Pour info, le plus proche est à Saint-Adresse, près du Havre, avec au moins une heure de transport, trop pour moi : à 41 ans, je n'ai plus ni l'énergie, ni l'envie de me taper beaucoup de transport pour aller m'entraîner.
C'est une autre raison d'ailleurs de mon choix, car le dojo choisi est environ un quart d'heure à pied de chez moi. J'ai plutôt eu un bon ressenti vis-à-vis de la discipline mais je me suis rendu compte qu'après plus de quatre ans sans sport (à part un peu de marche et de natation) j'étais franchement à la ramasse physiquement. Le véritable bémol est que je ne pense pas pouvoir aller à plus d'un cours par semaine. Cependant avec la situation sanitaire actuelle, je vais peut-être devoir faire l'effort d'aller dans le seul dojo où on peut encore pratiquer, car situé dans une ville qui ne figure pas dans la liste de celles où est interdite la pratique du sport en lieu fermé.
Comme tous les pratiquants, je demeure dans l'expectative de l'évolution de la situation sanitaire. Si cela s'améliore, j'envisage, mais, pour diverses raisons, pas avant plusieurs mois, de me mettre à une autre discipline. J'ai en effet l'envie de m'améliorer en pieds-poings même si le maniement d'armes m'attire aussi mais on ne peut pas tout avoir.
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