.....le choc des photos

[ombre en plein jour]

   

Ça oui, ce sont des exercices intéressants. On se rend maître du terrain en définissant pour soi la stratégie dans laquelle l'autre sera pris.

[lsd]

« Bruce était le genre de personne qui pouvait vous convaincre en 20 secondes après l'avoir rencontré. La plupart des instructeurs d'arts martiaux que j'avais rencontrés auparavant étaient très rigides et formels, exigeant constamment une preuve de respect manifeste. Pas Bruce. "
La personnalité de Lee a immédiatement charmé Kareem.
« Il m'a accueilli avec un grand sourire et un comportement amical, et j'ai immédiatement su que ce n'était pas le professeur raffolant des films japonais qui exigeait l'obéissance dans un arc. Nous avons parlé du basket-ball UCLA pendant un moment et puis nous sommes arrivés aux affaires. "
L'acte convaincant de Bruce
Le livre explique comment Bruce a utilisé sa femme Linda pour lui donner une leçon précieuse d'arts martiaux : les apparences ne sont pas ce qu'elles semblent être.
« Bruce a demandé à sa femme Linda de l'aider avec la manifestation. Il m'a dit de me préparer pour un sac de frappe lourd suspendu au plafond sur une chaîne. Le sac était aussi épais et lourd que le corps.
« Tiens-le aussi fort que tu peux », m'a-t-il dit. Soudain, Bruce a frappé son pied droit dans le sac. L'impact m'a fait remonter de plusieurs pieds, réaligner ma colonne vertébrale et peut-être réorganiser mes dents. Ils se tenaient là à sourire à l'expression choquée sur mon visage. "D'accord", dis-je en me frottant la poitrine. "Apprends-moi ça. "
L'élève choisit le professeur
Kareem a été vendu à Lees et a commencé à travailler avec Bruce en tant que professeur d'arts martiaux. Alors que Bruce Lee grandissait en tant que star d'action et acteur, les deux ont maintenu leur amitié.

[Poulpe Radieux (munsao)]

Les enseignants et les pratiquants de wing chun vivent dans un cocon wing chun. Leur wing chun s'en ressent. Ils tournent en rond dans une rhétorique fermée sur elle-même. Ils ne s'occupent pas d'applicabilité de ce qu'ils font.

Et c'est ainsi pour tous les arts martiaux. C'est compréhensible.

Il y a bien sûr des écoles et des individus qui s'occupent sérieusement de l'applicabilité au monde extérieur. Mais là, ce monsieur Fong, il est typique du solipsisme martial. Son wing chun reste un édifice fantasmatique pour démonstration et salle de cour. C'est nécessaire, mais pas suffisant.

La moindre des choses serait d'aborder des conditions crédibles d'affrontement. Pas le combat - le combat ne prouve rien, parce que le combat n'est pas l'objet du wing chun. L'objet du wing chun, c'est (je me cite) de détruire les conditions de possibilité du combat. En d'autres termes, finir vite.

Pour cela, il faut avoir une idée des dangers réels, de la façon dont un affrontement peut se présenter, comment il montre le bout du nez. Sinon, on s'expose à n'avoir que des réponses inefficaces à des attaques qui n'existent pas.

Il faut prendre, autant que possible, les gestes à la racine. En quoi consiste l'agression, c'est d'abord en quoi consiste la menace. La racine de la menace. Si on a loupé l'occasion, c'est une autre situation, il faut agir à l'intérieur de l'action de l'agresseur, le geler dans son action, etc. Agir en second (forcément) et arriver le premier. C'est à cela qu'il faut travailler. Pas par des exercice de vitesse, mais par le choix du positionnement et des gestes par lesquels on s'approprie discrètement le terrain, lorsqu'on est près de quelqu'un.

Il y a les attaques surprises, qui nous prennent au dépourvu. Même le plus grand maître sera vaincu par une véritable attaque surprise. L'art martial ne s'applique qu'à des situations qu'on PEUT anticiper.

Jean Michel Y.
Kiteshvara sur Kwoon,
Mon viel ami et ancien élève...

Tu te cite beaucoup trop...
Et je crois que tu t es égaré ?

Avais tu assisté aux combats libres organisés par Maître Michel Rozzi où le Grand Sissoko, terreur des Buttes Chaumont sur tu as bien connu et interviewé avec ton fils m, d'ailleurs je n'ai jamais vu cette interview publiée nulle part sur ce grand et puissant homme, il defoncait sa mère à tout le monde en improvisent et même en situation d'inconfort.
Et il n'y avait pas plus tradi que Sissoko et son maître Bae Long du parc Montsouris...
Tu ne l as jamais connu Bae Long il me semble? Il t'aurait mis du plomb dans la cervelle et ébranlé tes certitudes de bobo Parisien
...

As tu une vidéo récente de ton niveau martial mon viel ami ?

Nous allons prendre un café sur Paris sous peu et discuter un peu aux Tuileries et tu me demontreras les concepts fumeux que tu exposes ici et qui sont l expression de l'école de la Branche Kenneth Cheung de Paris que tu as fondé avec Montaigne de Kwoon.

Est ce là ton discours ou celui de Kenneth Cheung ou les deux.
En quel nom parles tu ?

Parce que là tu siphonnes mon viel ami, la sénilité wokisante n'est pas loin.

Reprends toi ?

[ombre en plein jour]

Décidément, tu es obsédé par moi. Du coup, ta condescendance bienveillante et insultante à la fois est assez plaisante. Nos chemins se sont séparés et je ne reviendrai pas en arrière.

[Poulpe Radieux (munsao)]

Dommage...
Ami sociopathe Jean Michel Y, je te souhaite bonne route.

Et je garde un œil sur kwoon, si tu vas dans une rencontre publique je viendrai te proposer un café, froussard !

PS : et je n ai rien contre les sociopathes, certains de mes maîtres l étaient.

Ils ont réussi à dépasser ce stade, pas toi apparemment Jean Michel Y.

[ombre en plein jour]

Why not

[Poulpe Radieux (munsao)]

Je n'ai rien compris à ta tentative d'anglais Jean Michel Y Aka kiteshvara ak ombre en plein jour.

Peux tu expliciter ton propos si tu le peux ?